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Les amis de Linda Bastide Olive & Alex Sont deux artistes professionnels; Comédiens, chanteurs,
musiciens, danseurs...
Dans la revue de printemps n°1241 qui suit, Paris Montmartre offre deux pages à la poésie mondiale avec une rubrique dont Linda Bastide sera responsable pendant quatre ans.
La suite du chemin littéraire de Linda…. vous la retrouverez en revenant sur vos pas >>
Livre format classique. 186 pages 18€. Frais de port en sus.Ouvrage à se procurer chez l’auteur : 17, rue Véron. 75018 Paris. Tél : 0636561921. mail : bastidelinda@gmail.com
 
La Revue des « Espagnols de Paris » honore elle aussi cette jeune femme espagnole vieille de trois siècles, qu’est la romancière française Linda Bastide, en consacrant une page entière à son roman.
Elle les reçoit, médaille aux couleurs du village autour du cou, avec un chapeau fait de feuilles de vignes et de grappes sur la tête.
Mister Gaddget se déchaîne et invente des lunettes folles qui lancent des étoiles de toutes les couleurs.
Jusqu'au poète centenaire Pierre Béarn qui monte de son Quartier Latin, en taxi bien entendu, oubliant pour la circontance sa petite phrase que la France entière connaît :"Métro, boulot, dodo...."
Ils ont plusieurs amours en commun, le grand Pierre et la "petite" Linda : ils ont le même chat, ils riment quelque fois sans rime ni raison, juste pour le plaisir, et c'est Pierre qui plus tard, remettra à sa "copine d'encre et de papier" et à Carnac, le Prix du Muolin de l'Ecluse ! Encore un moulin !
Pierre et toute la Butte et les amis de ce Paris où l’on « descend »quelquefois, se retrouvent autour d’Éléonore le soir de la fête de sortie d’automne de la Revue, à savourer, avec ou sans modération, allez savoir, les « Crus Fitou » : une délégation de la Mairie : Patrick Tarrius, son maire, Jean-Luc Vidal son adjoint et vigneron sont là avec quelques amis d’en-bas. Pour l’occasion, Linda devenue pendant l’été « Chevalier du cru Fitou », fait « monter » aux pieds de Notre-Dame de Montmartre, quelques vignerons de son village d’enfance.
Et depuis cette Revue n°1340 de janvier 2011, dans laquelle Linda et son héroïne Eléonore entrent pour la 1ére fois, Paris-Montmartre se fait le porte-parole et critique littéraire des ses œuvres. …..
Ce roman qui chante « avé l’accent » un petit village du Sud caché au cœur des garrigues) séduit les Montmartrois de tous horizons, : artistes, libraires, ou anonymes gens des rues de la Butte, ils se retrouvent à chanter cigales, et à s’enivrer de l’odeur du thym et du romarin des garrigues. Qui s’en étonnerait ?
Pile en l’an 2000, une fête culturelle géante, organisée par la Revue Paris-Montmartre, concrétise de façon spectaculaire cette magique et particulière amitié qui lie depuis plusieurs années Montmartre et la narbonnaise Linda Bastide.
Ensemble ils vont et viennent, au gré des recueils et romans, et, comme Mercure " des ailes aux pieds, le nez en l'air et l'air de rien, de planète en comète, ils voyagent..."
(Extrait de Une Plume verte qui courait dans l'herbe. Editions Les 3 Orangers)
En décembre, la sortie du roman « Le Journal immobile d’Éléonore » initie le voyage d’Ambassadeur Culturel de Linda, mission qu’elle n’imaginait pas accomplir officiellement un jour ! …
« Quand je descend de notre village depuis les confins de Treilles, c’est chaque fois un coup au cœur. Et Plein les yeux. Du haut de mes garrigues, la mer soudain… Comme si chaque soir, j’oubliais que la mer était là. Comme si chaque matin m’apportait ce cadeau,: le bruit des vagues et leurs bulles d’écume entre les doigts. Les étangs entre nous. Un mirage vieux de trente millions d’années. Il accompagne les contreforts des Corbières. Ou les longe au plus près. Ou les sépare en îles plates. Ou s’en éloigne, frôlant les marécages. Je pose ma bicyclette. Et sur ma droite, par beau temps, juste après les toits de Saint Laurent de la Salanque, devant les neiges d’été du Canigou, je peux apercevoir l’Espagne. A gauche, derrière les étangs, je vois la cathédrale de Narbonne se dresser aux frontières de mon enfance. » Extrait
Le Journal Immobile d’Eléonore. Éditions l’Harmattan. Collection Écritures Sélectionné pour le Prix Méditerranée. 10ème édition, destin exceptionnel en ces temps un peu difficiles pour la lecture, où les romans ont une durée de vie si courte…
On déguste " La Cuvée Jean Marais " du Domaine Lou Courtal des Vidals, dont l'étiquette est dessinée par le montmartrois Jean Marais, ami de Jean Cocteau, du temps où, tranquille au bord de l’étang, dans sa maison de Port Fitou, il dessinait sur porcelaine et montait au village « à la fraîche » dîner au Courtal
Toutes éditions françaises épuisées exceptée l’édition roumaine bilingue Confluente, aquarelles numérotées Linda Bastide. 10€ et port en sus)Ouvrage à se procurer chez l’auteur : 17, rue Véron. 75018 Paris. Tél : 0636561921. mail : bastidelinda@gmail.com .
L’édition faite par Recherches Graphiques du recueil épuisée, La Nouvelle Pléiade le réédite en livre de poche et confie l'illustration mise en présentation de la première page en couverture, au grand peintre Alain Defrance qui invente pour ellle un palimpseste poétique, couleur de roches et de sables... La nouvelle édition est très rapidement introuvable !
Et la Roumanie prend le relais : traduit par Elisabeta Bogatan, Confluente offre à lire cette troisième mouture en seulement 40 exemplaires bilingues avec, une aquarelle différente pour chacune des couvertures, aquarelle peinte à la main par Linda Bastide et numérotée. Ce mini livre d’art figure en bonne place et dans la bibliothèque de l’Ambassade de Roumanie à Paris, et dans celle du Centre Culturel franco-roumain qui la jouxte.
Il y a là, Paul de Chefdebien du Château Abbaye des Monges, M de Braquilanges du Château Moujan, Christophe Bousquet de Pech-Redon, François Thomas, responsable de la cave du Château Ricardelle et eux, les quatre du Sud, se retrouvent étalés en pleine page du Paris-Montmartre. Des parisiens qui qualifient leur terroir de "Clape aux trésors" dans la plus belle revue de Paris, on le leur aurait prédit en bas, ils en auraient mangé leurs cailloux.
 
Le peintre narbonnais Guy Perottet a réalisé pour chaque vigneron de La Clape un « portrait » des vignes ou des belles demeures vigneronnes de chacun des 34 viticulteurs de cette « Illa del Lec » romaine, offerte par César à sa 5ème légion de soldats qui, se trouvant bien là, deviendront marins puis vignerons. Cette île sera rebaptisée Clape un jour…
Comme l’ont fait les vignerons de Fitou, ces vignerons là, dont quelques uns ont des ancêtres marins et pirates, ceux-là, de La Clape « monteront » à Montmartre faire goûter aux parisiens et aux montmartrois en particulier, leur vin de soleil pour la sortie en livre d’Art aux Éditions Recherches Graphiques du recueil « Île-Montagne de la Clape, vigneron, souviens-toi des marins »
Recueil magnifiquement réalisé en livre d’Art doud étui : 20 exemplaires sur papier Velin numérotés en chiffres romains, et 250 sur papier Rivoli-Arjomari, numérotés en chiffres arabes.
La fête de sortie de la Revue Paris-Montmartre dont la couverture est un tableau de Midani, se fait dans les ateliers d’encadrements « La Baguette de bois ». Plusieurs pages intérieures célèbrent le massif de La Clape, île ancienne rattachée aujourd’hui là-bas, loin dans le Sud, à la ville de Narbonne et elles célèbrent aussi le talent des vignerons de ce massif, qui entre terre et mer, entre vent et vagues, font jaillir des ceps enracinés au profond du roc un vin de soleil. Cette fête de décembre 2002, Michou s’en souvient aussi !
Île-Montagne de la Clape, vigneron souviens-toi des marins
(toutes éditions françaises épuisées)
Le président de la Société des Poètes français parraine une soirée littéraire, organisée par Jean-Louis Guérin au Café de la Poésie de la Place Saint Sulpice à Paris, qui sera retracée dans une revue japonaise, et relie une deuxième fois Montmartre et Saint Germain.Sur les murs des locaux de la SPF, rue Monsieur le Prince au quartier latin, une exposition des toiles de Midani, Président de la Revue P-M, et sur les tables, le recueil « Île-montagne de la Clape, vigneron souviens-toi des marins » de Linda. La Revue internationale du Bibliophile se fait aussi l’écho du recueil.
Marcel-Charles Gaichet ou le côté d’où vient le soleil » Éditions Nouvelle Pléiade
Ce recueil que le Conseil Régional du Languedoc Roussillon récompense d’une Bourse d’Aide à l’Ecriture, et que Paris honore du Prix 2010 des Écrivains et Poètes Passeurs de Mémoire, est dans le chemin au creux duquel Linda Bastide marche depuis longtemps.
Il n’y a qu’à lire la phrase du poète espagnol Antonio Machado qui l’annonce : «  Caminante , no hay camino, el camino se hace al andar », pour savoir que le lecteur va entrer dans la vie d’un être exceptionnel qui, marchant depuis sa petite enfance dans le difficile et magique chemin qu’il avait choisi, partageait lui aussi sa vie entre Narbonne et Montmartre, reliant ses deux amours par l’exubérante beauté de ses tableaux et poupées et les fabuleuses fêtes nocturnes où les amis de là-haut venaient enchanter ceux d’en bas.
Ce recueil, a demandé trois ans de travail à Linda Bastide, amie de toujours d’un être exceptionnel, qui partageait avec elle sur la Butte, un triangle magique de rues tranquilles et cependant connues du monde entier.
De Montmartre à Narbonne, le livre voyage …. et le petit tour de piste quotidien prend, au creux des pages de ce roman-photos, des airs de tour de manège d’une enfance disparue, nostalgie mélancolique qui balance entre souvenirs heureux, rires et larmes.
Livres format 26/10.  68 pages 15€. Frais de port en sus.
Ouvrages à se procurer chez l’auteur : 17, rue Véron. 75018 Paris. Tél : 0636561921. mail : bastidelinda@gmail.com
Toujours à la caverne du Barbu, le Roi bleu Michou est heureux, la vie avec les amis, quoi de pls beau ! "Quelle belle soirée!"
Les membres du jury ont eu grand mérite : sous le regard et la tutelle de Jean-Manuel Gabert, rédacteur en chef de la revue Paris-Montmartre, ils planchent, Andrée, Francis, François, Yvette, Albert, Yves et les autres, pendant des jours et des jours, choisissant 36 poètes venus de tous pays, Israël , Serbie, Roumanie Congo etc…
A la Cavene du Barbu, Autour d'un portrait de Bernard Dimey (Tableau Yvette Cathiard), Linda et  Francis Lai, le compositeur des musiques des films de Lelouch et de 1000 chanson)s, 
Le grand poète Andrée Chedid, et sur la photo, le chanteur montmartrois François Deguelt (l’auteur de l’émouvante et poétique chanson « La ballade du vieux Montmartre » ici avec Linda qui lui remet le recueil)  et Thierry Campion ( patron du bar de la Mascotte, le bien-aimé rendez-vous des amis, Michou, Midani et les autres…)
Le Professeur Israël, Membre de l’Institut, préside un jury exceptionnel qui se lance dans la recherche des perles poétiques rares.
Outre son poème « Le Montmartre », Linda qui adore les chats vous offre ceux de la Butte qui sont nombreux à rôder « autour du Chat Noir, à Montmartre le soir »
Le grand Cocteau nous quitte en Septembre retrouver tous ceux qui continuent d’écrire sur les nuages.
Pierre Mac-Orlan remet à Linda, au cours du mois de décembre 63 et dans le décor de La Crémaillère Place du Tertre, où, sur l’infini des murs, les affiches de Mucha, enchantent le regard, le seul et unique Prix des Quatre Saisons Jean Cocteau, en lui disant : " mademoiselle votre poème est un tableau " .
Quelques lustres plus tard, en hommage au grand poète disparu, c’est Linda qui crée une maison d’éditions de poésie « Poètes à vos Plumes » et qui, via les annonces de nombreuses revues de poésie, Internet et son réseau d’amis poètes, lance son filet sur tous les pays, et ramène sur la grève, à grands coups d’une sirène magique en forme de tube acoustique, dont le murmure s’amplifie jusqu’au bout de la planète, 360 poèmes au titre commun « Montmartre ».
La revue Paris-Montmartre se fait l’écho d’une aventure aux sources et péripéties étonnantes, Montmartre oblige ! ( Photo 7).
L’Agora, revue de la Société des Poètes Français se fera elle aussi l’écho de cette aventure ( Photo 8).
Linda Bastide est un poète adolescent lorsque Jean Grassin, un jeune éditeur chez qui elle a obtenu son premier prix de Poésie, « le Prix des Muses », présente son poème « Le Montmartre » au Concours lancé par Jean Cocteau, pécheur de mots lançant son filet sur la France entière.
Montmartre raconté par 36 Poètes d'aujourd'hui
Éditions Poètes à vos Plumes (épuisé)
Plus de 100 poètes se retrouvent pris dans la nasse scintillante des mots de musique et de couleurs.
Edité en français, anglais, espagnol, hébreu, japonais et serbe, le poème de Linda, entouré d’une enluminure dorée à l’or fin, va enchanter ceux qui passent par la boutique du Moulin Rouge de la rue Lepic, et inaugure l’éternel voyage de Linda, tout autour du monde des poètes et des écrivains .
C’est encore un pont entre Montmartre, d’où descendaient à la Berchère toutes les vedettes du cinéma, de la chanson, du Music-hall, du journalisme, et le Sud du Sud, où elles se posaient quelques heures ou quelques jours, y chanter, s’y reposer près d’une piscine creusée à l’à pic d’une garrigue abritée du vent et de la cruauté du monde… Une nuit et une journée sont racontées là, dans ce lieu clos où Angélique de Scorailles Marquise des Anges donnait déjà de somptueuses fêtes, à l’aplomb des rochers de ce Pech sauvage, niché dans un creux de la Nationale 113 qui part vers l’Espagne entre Narbonne-Montredon.Vous y trouverez l’histoire romancée d’un lieu et d’un être comme il n’y en a plus, lieu d’amitiés, de joies partagées, de fous-rires et de larmes quelquefois, invraisemblable tour de Babel érigée au creux des rochers, un rêve peut-être…
Simone Salgas, écrit la 4ème de couverture : elle l’avait lue aussi en forme de manuscrit cette histoire dont Linda nous dit une phrase de Louis Aragon sur la première page blanche qu’ « écrire, c’est mentir vrai » et par la voix de Roberto Juarroz « On ne revient d’aucun voyage »…. Julie Matignon, honore le roman de Linda d’une préface intelligente et sensible, à la mesure de son talent et de son amitié pour l’auteur et les personnages réels ou imaginaires du roman.
Livre au classique 205 pages 19€. Frais de port en sus.Ouvrage à se procurer chez l’auteur : 17, rue Véron. 75018 Paris. Tél : 0636561921. mail : bastidelinda@gmail.com
C’est le deuxième roman qui unit dans une même joie Montmartre et ce pays narbonnais que ceux de la Butte connaissent bien depuis les rires d’Eléonore et les promenades sous le soleil de La Clape. Marcel-Charles Gaichet l’avait lu le manuscrit de ce roman qui est resté longtemps dans les tiroirs de Linda. Et il l’avait beaucoup aimé. Il ne le lira pas dans le livre édité par l’Harmattan, occupé qu’il est, là-haut dans les nuages, lui qui mettait dans les yeux de ses personnages tellement de tendresse et de nostalgie, à peindre le regard des anges.
Le côté d’où vient la nuit.
Éditions L’Harmattan
Jean-Manuel-Gabert, le rédacteur en chef de la Revue Paris-Montmartre « se régale » de parler du nouveau roman de cet écrivain montmartrois qui a pour nom Linda Bastide. Et Jean-Paul Chaluleau de l’Indépendant « se régale » aussi du roman de cet écrivain narbonnais, qui a le même nom que son père prof de collège dans l’ancienne capitale romaine, Narbonne ! Albert de Smet, journaliste au  World Periodical Press News les emmmène,  La Berchère et La Butte, jusqu'au bout du monde.
Livre d’Art (format 17/24) à 20€. Frais de port en sus.Ouvrage à se procurer chez l’auteur : 17, rue Véron. 75018 Paris. Tél : 0636561921. mail : bastidelinda@gmail.com
Le recueil est honoré du Prix Vermeil de l’Académie Internationale de Lutèce qui lui est remis au François. Coopée à Montparnasse par la Présidente Monique Lacroix-Terrier. En présence de Serge Moreau, écrivain-raconteur, ( à droite sur la photo) , mémoire vivante d’un fabuleux Montmartre qu’il nous offre avec une joyeuse nostalgie et une gouaille de poulbot, dans « Rendez-vous Place du Tertre » paru aux Editions Saxo
De Narbonne en passant par Paris et jusqu’en Roumanie où il est traduit, cette balade lumineuse et nostalgique ravit ceux qui la font avec elle.
Le peintre roumain Petru Birau fera dans la ville des promenades d’où sortiront des gouaches qui rivaliseront en force d’émotion avec les clichés anciens de Claude, dernier photographe de la dynastie familiale, mémoire des lieux de la ville et de plus loin.
Avec « Narbonne ou les jardins d’Antoine » illustré par les photos d’archives de Claude Fagedet, édité en Livre d’Art, Linda Bastide promène ses lecteurs dans le magique univers de son enfance dans une petite ville comme il y en avait tant de par le monde.
Narbonne ou les jardins Antoine
Editions La Pierre Milliaire
Jean-Manuel Gabert, Directeur adjoint et Rédacteur en chef, se fait dans la La revue Paris-Montmartre de Mars 2009, l’écho de la sortie du recueil
« Narbonne ou les jardins d’Antoine », d’autant qu’à Narbonne où elle est « descendue » le présenter, Linda rencontre Les Natis, deux jeunes musiciens-chanteurs qui viennent de recevoir le Prix Charles Trenet
Avec tendresse, Linda Bastide récolte entre ces pages toutes les facettes du talent éparpillé de l’artiste, grâce à l’aide de ses nombreux amis collectionneurs : la publicité suit le mouvement de son rêve, et ce sont affiches, petites merveilles comme la série d’étiquettes du vin de Château Auris. Voici surtout, à découvrir pour beaucoup, les nombreux dessins, esquisses et toiles où, comme toujours dans l’œuvre de Marcel-Charles Gaichet, la grâce innée et l’harmonie fredonnent la même mélodie du bonheur mélancolique. Voyageurs solitaires, anges indécis, gitans efflanqués, regards d’enfants tristes, de pierrots perdus, oiseaux et ballons y font entendre en aparté le chant sans fin de la vraie vie absente.Et quel plaisir encore de voir renaître la vitrine de la petite boutique montmartroise de Marcel-Charles, où il exposait ses splendides marionnettes :
Avec ce nouveau recueil « passeur de mémoire », Linda Bastide fait de ce Peter Pan languedocien une figure de légende ancrée dans la chair d’un poète, un personnage de conte entre Daudet et Marcel Aymé, ce qu’il était destiné sans doute à devenir, et le voilà parti pour la contrée intemporelle du « Il était une fois », véritable patrie de ce Narbonnais naturalisé Montmartrois.
Si le rêve est bien pour lui une réalité seconde, la trajectoire terrestre de Marcel-Charles, galopin des garrigues emporté par la tramontane jusqu’aux falaises de la Butte, ne manque pourtant pas d’intérêt. Bien sûr, à l’heure où les autres s’écorchent les genoux à l’escalade, il dessine seul, déjà, et fabrique des poupées de chiffon… Nul mieux que lui peut incarner le cancre de Prévert : à 10 ans, le dessinateur prodige, bon dernier à l’école, couvre de fresques les murs de son Collège Beauséjour de Narbonne. C’est le début du voyage…
Livre d’Art (format 29/20) 280 pages, 430 photos couleur. 200 exemplaires numérotés à 45€. Edition classique : 35€. Edition format livre de poche 25€.
Frais de port en sus.
Ouvrage à se procurer chez l’auteur : 17, rue Véron. 75018 Paris. Tél : 0636561921. mail : bastidelinda@gmail.com
Esquisses, fresques, vitrail, Marcel-Charles Gaichet n’a cessé de s’exprimer sur toutes les surfaces, sans jamais éteindre en lui la fièvre de créer. Rappelant qu’il ne manquait ni du sens de l’amitié, ni du goût de la fête, Linda n’oublie pas de faire revivre les beaux jours de la Berchère : dans cette place forte – ancienne résidence d’été de l’archevêque de Narbonne ! – le petit prince accueillait amis célèbres et anonymes à toute heure du jour ou de la nuit, faisant souffler sur la garrigue l’atmosphère vivifiante de la bohème artistique. Michou n’a sûrement pas oublié les Nuits Bleues de La Berchère…
Marcel- Charles a disparu avec la même grâce qu’il mettait à ses apparitions surprises au coin d’une rue printanière, la même élégance dont témoigne aujourd’hui son œuvre : sans s’appesantir. Il était temps que l’une de ses amies les plus chères nous le restitue. Linda Bastide fait passer à travers les trouées du temps le fil indéfectible de la mémoire : elle tisse un livre d’or de kla vie selon Marcel-Charles Gaichet, avec de la poésie plein les doigts et les cheveux, à l’image de cet éternel enfant, ce frère d’âme barbouillé de peinture et de rêves. Jean-Manuel Gabert. (article Revue Paris-Montmartre du 3ème trimestre 2011)
Marcel-Charles Gaichet était de ces rares princes, arpenteurs de l’imaginaire qui enchantent la vie naturellement, et la perdent par surprise sur la route de nulle part.
Impossible pour ceux qui l’ont connue d’oublier cette vitrine du « Tuturlu », qui était comme une déchirure dans la trame des jours gris, bien plus qu’une vitrine l’envers d’un miroir où se reflétait l’invisible, peuplé d’étranges visages peints aux yeux vivants : divas de porcelaine, fées blanches, femmes-fleurs, pures beautés, poupées stars Greta, Édith, Mistinguett, Brigitte, Joséphine, Barbara…fantasques pierrots, saltimbanques, clowns ou danseuses de 1925 s’y pavanaient pour une enfance jamais défunte, dans un ailleurs sans fin, un espace de transition entre l’ici et l’au-delà à l’orée duquel se tenait l’énigmatique poste d’octroi d’un Teppaz bleu. C’était là, dans cet antre de haute magie accroché au toboggan de la rue Berthe, que le monde imaginaire de Marcel-Charles avait pris forme, sorte de Wonder land d’Alice qui aurait perdu ses griffes mais pas sa sourde mélancolie.
Le Gepetto de la Butte donnait la vie aux visages de cire ou de porcelaine, il offrait une âme, le mystère d’un regard, la tristesse d’une lèvre, à ces petits êtres indécis du monde intermédiaire, saisis entre la vie et la mort. De la rue Berthe à la rue Labadie, Marcel-Charles continua de mettre en scène une mythologie personnelle où les arlequins, pierrots et colombines finissent par rejoindre Bruant, Lautrec, poulbots, où les figures mythiques de la Commedia dell’Arte et celles du Montmartre artistique se mêlent pour composer un univers baroque et fascinant. Merci à cet ouvrage de nous donner à voir aussi tous ces magnifiques portraits peints : Marilyn, Piaf, Barbara, ou ces figures anonymes de pêcheurs, boulangères, couples, sans oublier une Rouquine brûlante qui crépite de toutes ses flammes…
"Derrière
une
éclaboussure
de
soleil
pile
au
centre
du
miroir
les
secrets
de
polichinelle…"
Poème X
Petru Biraù, Elisabeta Bogatan, venus de Roumanie, Jean Olivet, Jean Paul Sire et Richard Pari, descendus depuis la butte Montmartre sont venus  en ambassadeurs offrir au dernier recueil de Linda  "Le Fil du miroir " leurs  gouaches,  taductions, musiques, chansons et collages pour le grad plaisir des invités à la fête.
HIER
Tu fais ma peine longue
avec les quatre coins
d'un mot,
plus vive au creux des mains
et dense,
ce que nous sommes.
Tu fais laides mes larmes,
à fond de peur,
car je ne puis plus me dénouer.
Le soleil est un prétexte
pour tenir mes paupières
baissées.
Tu fais les heures difficiles,
cependant
nous irons
demandera l'aurore
de manger notre pain.
 
(Extrait de Ma Mille vendange)
Poème de Linda Bastide
IERI
Imi faci suferinta lungâ
eu cele patru colturi
aie unui cuvant,
mai vie în câusul mâinilor,
si densâ,
ceea ce suntem.
îmi faci lacrimile urâte,
în adâncul spaimei,
câci nu mai pot sa mâ dezleg.
Soarele este un pretext
sâ-mi tin pleoapele
lâsate.
îmi faci orele grêle,
si totusi
vom merge
sâ-i cerem aurorei
sa ne mâncâm pâinea.
 
Traducere din limba franceza de
Manolita  Dragomir-Filimonescu
Quelques certitudes de Linda en forme d’aphorisme : « Nos hasards nous ressemblent » et « Le hasard n’est pas une coïncidence » , De Paul Eluard qu’elle aime citer « Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous » et d’Antonio Machado : « Caminante, no hay camino, el camino se hace al andar »Linda Bastide est bien dans le chemin qu’elle trace depuis son adolescence.
Dans le même temps que ses poèmes sont édités elle écrit cinq romans dont « L’insolence du Lundi » et « Chelsea Hôtel, Julien ».
« Le journal Immobile d’Eléonore» ( Éd L’Harmattan, sélectionné pour le Prix Méditerranée 2000) et « Le Côté d’où vient la nuit » (Éd L’Harmattan) et en 2010, « Marcel-Charles-Gaichet ou le côté d’où vient le soleil » (Roman-biographie de 300 pages et 450 photos, Éd. Nouvelle Pléiade) Prix 2010 des Écrivains et Poètes Passeurs de Mémoire.
Ce parcours atypique de Linda, il se fait dans la totale liberté d’une inspiration qui se balance de roman en poésie au gré du vent de cers ou du vent de marin, au gré de promenades sous les pins, dans les grottes ou les vignes, sur les chemins de pierre ou, montant une rue Lepic qui monte jusqu’au ciel, sur les hauteurs de la Butte Montmartre ensauvagée de lilas, de pigeons et de chats… au gré des périples d’une mission de l’ambassadeur qu’elle est depuis toujours, périples qui l’emmènent partout depuis longtemps et ne s’arrêtera pas de sitôt, car il bifurque depuis longtemps aussi, dans de nombreux chemins buissonniers.C’est depuis des années que, faisant un détour par l’Espagne, passant par la Roumanie, l’Angleterre, la Russie, la Serbie, le Japon ou Israël, Linda Bastide glane, ici ou là, quelques prix de Poésie Internationaux, et contribue ainsi à instaurer d’indispensable échanges culturels, faisant à la fois connaître des poètes venus d’ailleurs. Et Linda mène aussi son obstiné combat  de petit soldat de la poésie, dans les écoles, dans les lycées et dans les facultés de France et d’ailleurs, comme ici à Fitou dans l'Aude : assurer la conservation de notre langue, bien menacée, même en France  par un anglicanisme galopant.
Linda, ambassadrice de mode, en brune-Dessange et robe de Jacques Esterel, le couturier de Brigitte Bardot, reçoit ce Prix dans le lieu traditionnel et mythique des remises de Prix littéraires, le Procope à Saint Germain des Prés, en présence de son éditeur Jean Grassin (à g sur la photo) et du critique littéraire Claude Sorel.
Quelques poèmes du vieux cahier rouge se retrouveront dans de recueil « À Cloche-Cœur .
A CLOCHE-Cœur récompensé par le Prix des Muses . Les 9 Muses sont de jeunes vedettes de l’écran ou de la scène : Mylène Demogeot, alors mariée à Coste, photographe narbonnais  « Les sorcières de salem », Nadine Tallier
«  Donnez-moi ma chance » et « Les grandes familles »  et, ça ne s’invente pas, elle deviendra Nadine de Rothschild !, Nicole Berger «  En cas de malheur », Josette Arno « Pitié pour les vamps », Michèle Bardollet
« Promesses dangereuses », Evelyne Ker
« Amour, mon cher amour », Dominique Page « Les Tricheurs », Danick Patisson « Rafles sur la ville » et Hermine Simoncelli « Le mannequin poète » …
Son premier éditeur de poésie la découvre en photo et en couverture d’une revue cinéma : l’article intérieur mentionne qu’elle est aussi poète...!
». Cinquante ans plus tard, le recueil associé à un autre, sera traduit sous forme d’anthologie personnelle, en roumain sous le titre commun « O Mul Gol » ». Tradution Manolita Dragomir Filimonescu, Editions Augusta de Paolina Popa. Deux des poèmes d' À Cloche-Cœur se retrouvent dans O Mul Gol et seront récompensés en Russie par un Prix International !
À ce jour, onze recueils de poèmes pour Linda dont : deux traduits en anglais, trois en occitan-français, quatre en roumain-français, un en espagnol, un en russe et un en serbe. Palmarès de neuf Prix français de poésie dont le Prix des Muses pour « À Cloche-cœur », le Prix Jean Cocteau 1963, pour « Le Mont Martre »seul prix instauré par le poète lui-même, remis à la Crémaillère par Pierre Mac-Orlan, le Prix Vermeil 2008 de l’Académie Internationale de Lutèce pour " Narbonne ou les jardins d'Antoine ", le Prix 2010 des Écrivains et Poètes Passeurs de Mémoire, Le Grand Prix Richelieu 2012 pour « Le Fil du miroir » Palmarès de cinq Prix internationaux dont en 2007 le Premier Prix du Festival International de Deva, en 2009 le Prix du Ministère de la Culture Roumain, et en 2012 le Prix de Poésie traduite « Rubicon » au Festival Russe de Somlensk, attribué à un poète français en pays Slave pour la première fois.
- Pour la France, Linda Bastide, poète-écrivain, Ambassadeur à Narbonne. (Seul jeune poète titulaire du Prix Jean Cocteau instauré par le poète et remis en déc 63 à la Crémaillère Place du Tertre par Pierre Mac Orlan - - recueil Montmartre raconté par 36 poètes d’aujourd’hui, sponsorisé en version anglaise par le Moulin Rouge et le Cabaret « Chez ma cousine » - livre d’art de la biographie du peinte montmartrois-narbonnais Marcel-Charles Gaichet)Pour mémoire, quelques citoyens d’Honneur :
"Le côté d'où vient le soleil"
Mannequin chez Jacques Esterel, modèle chez Jacques Dessange, elle court le monde, de film en film, de défilés en défilés, de soirées en soirées.Elle écrit sans cesse dans ce petit carnet rouge qui ne la quitte jamais. Jusqu’au jour où son premier livre est édité : préfacé par René Fallet, il sera suivi d’une série de quatre romans, dix recueils de poèmes, dont 1 traduit en bilingue anglais, 4 en bilingue occitan, 5 en bilingue roumain, sept prix littéraires français, dont le prix Jean Cocteau, et quatre prix internationaux
Linda Bastide fait passer à travers les trouées du temps le fil indéfectible de la mémoire :  Elle tisse un livre d’or de la vie selon Marcel-Charles Gaichet, avec de la poésie plein les doigts et les cheveux, à l’image de cet éternel enfant, ce frère d’âme barbouillé de
peinture et de rêve. Jean-Manuel Gabert .
Linda Bastide par Estelle Bastide :  Narbonnaise de naissance et de cœur, Linda arrive à Montmartre à l’âge
de 17 ans et ne la quittera plus, mais elle garde toujours une maison de villégiature à Narbonne. Elle est élève du cours d’Art Dramatique de Solange Sicard qui forme en son temps Simone Signoret, Robert Hossein et bien d’autres grands acteurs.
lesbavards@hotmail.fr
" Les secrets du cahier rouge..." ou, l'étrange parcours autour du monde de la fille des garrigues
Le président de la Société des Poètes Français nous dit : « Laissez-vous faire, Linda Bastide est une femme poète. Suivez-la /… / Linda saura vous guider et nous faire partager sa ferveur d’ombres et de lumières »
Madame l’Ambassadeur de la République de Montmartre Linda Bastide, écrivain-poète-peintre, originaire du Sud de la France, est une « aventurière », un électron libre et rebelle.
Destinée à être une sage petite institutrice, elle s’enfuit et sa personnelle barque d’immigrée accoste à Montmartre.
Elle est mineure et pour tout bagage emporte le gros cahier rouge à petits carreaux dont elle a rempli les 150 pages de poèmes écrits en douce et en « cours de musique », « cours de couture » ou « cours de géographie »….
Le hasard lui offre d’incroyables cadeaux : madame l’Ambassadrice devient comédienne et tourne petits et grands rôles dans de nombreux films.
Elle a changé de nom et la Linda (ou Jacqueline) Vandal qu’elle est devenue fait le tour du monde, avec pour complice son cahier rouge dans sa valise.
Quelques films : en Italie avec Francesco Rosi (partenaire Renato Salvatori) , en Grèce avec Costa Gavras, en France, rôle titre du film « Une fille à la dérive » de Paula Deslol, Prix des Cinés-Club à Cannes (Partenaires Paulette Dubost, Pierre Barouh, Marc Terzief) » et « Ces dames s’en mêlent »de Raoul André, (partenaire Eddie Constantine) etc…
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Réunis sous le sapin de Noël du Chamarré à Montmartre Jean-Manuel Gabert, rédacteur en chef de la revue Paris-Montmartre, Jean-Marc Tarrit Président de la République de Montmartre, Linda Bastide, Ambassadeur et Midani, Directeur de ladite revue, souhaitent de belles et joyeuses fêtes aux narbonnais
Au soir du 19 décembre 2011, eut lieu  une grandiose soirée de fête, "Au Chamarré" où se pressaient les 250 invités habituels de l'apéritif de sortie de chaque nouveau numéro du Paris Montmartre, au dîner plus intime "Au Clocher de Montmartre"( où elle a déjà été reçue pour la sortie de son livre "Marcel-Charles Gaichet où le côté d'où vient le soleil").
Demain Linda nous revient au soleil du Sud elle rêve... De faire inviter pour le rapprochement de « Narbonne - Montmartre » Alain Turban pour « que tout le Languedoc-Roussillon se sente l'âme d'un Poulbot » ! extrait de l'article la Dépêche du midi
La jeune chanteuse allemande Isabel Varell qui animait la soirée avec Alain Turban, a dit de ces poèmes - "qu'ils feraient de très belles chansons". Il faut rappeler que Jean Olivet a déjà mis en musique le poème n° VII : "Le miroir cassé" et qu'il a été chanté à la Médiathèque de Narbonne le 1er décembre dernier.Pour revenir sur Montmartre, cette soirée de fête s'est terminée par les magiques chansons montmartroises d'Alain Turban etc... etc
Les parisiens ont tout  oublié, la pluie, le froid et le vent qui ne se gène pas pour escalader la Butte à la faire s'envoler, et eux avec, jusqu'aux étoiles de Noël ! A croire qu'il a voulu imiter rien que pour Linda, la tramontane de  Narbonne. La lecture des textes extraits de son nouveau recueil "Le fil du miroir" magnifiquement illustré par le grand peintre Roumain Petru Birau , a tiré des larmes d'émotion, aux artistes et amis présents.
Aujourd'hui, elle rêve Linda, de Cigales à Montmartre, et de Poulbots à Narbonne... pourquoi pas ? Quizas! Quizas! Quizas !
      Vendredi 9 décembre à 20 heures 30
               La Maison Poétique
1, rue Ancienne Porte Neuve, Narbonne
        « Carte blanche à « Linda Bastide »
Peintre, romancière, poète nous convie au rendez-vous de la mémoire et de l’amitié, lors d’un échange avec le public, de questions en réponses, elle nous fera voyager, de recueils de poésie en romans, à travers l’ensemble de son œuvre littéraire… En seconde partie,son noveau recueil illustré par les gouaches du grand peintre roumain Petru Biraù de son nouveau recueil « Le fil du miroir » (édité en six langues, français, anglais, espagnol, roumain, serbe et russe) .Lors de cette soirée, Linda jouera au Père Noël, à chacun de ses lecteurs, elle offrira un exemplaire de son livre d’Art : « Narbonne ou les jardins d’Antoine, » une promenade dans le Narbonne d’hier et d’aujourd’hui illustrée par des photos d’archives de Claude Fagedet, mémoire vivante de notre ville
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Narbonne, le jeudi 08 décembre à 18h30 au Café de la Poste une surprise vous attend : une Miss Jeckill et Miss Hyde narbonnaises vous donnent rendez-vous déguisées en deux Linda que vous connaissez bien :- RVS avec Linda Vandal, la comédienne qui vous parlera des ses films et vous montrera quelques revues venues du monde entier. (Photo de tournage et affiche italienne de « Ces dames s’en mêlent », film français qu’elle a tourné avec Eddie Constantine.- RVS avec Linda Bastide, l’écrivain et le poète, qui vous parlera de son dernier recueil « Le Fil du Miroir », vous en dira quelques poèmes, et qui, entourée de l’exposition des tableaux du peintre, vous fera voir sur ordinateur le seul court extrait existant de Marcel-Charles Gaichet en train de peindre Edith Piaf et Mireille Mathieu.Le Père Noël passant par là a promis d’offrir aux lecteurs de Linda, « Narbonne ou les jardins d’Antoine » livre d’art illustré des photos d’archives de Claude Fagedet.
Reportage photos Ddier Richet
Petru Birau et d’Elisabeta Bogatan (traductrice et éditrice de le version roumaine, mandatée par la Municipalité de Petrila Roumanie).
Un moment de bonheur avec l' illustration musicale du « Miroir cassé » par Jean Olivet à la guitare en trio avec Linda et Jean-Paul Sire,
Une magnifique serie de tableaux collages en forme de coeur de l'artiste Pari inspirés du recuei "Le fil du miroir"
Linda dédicace
La soirée se clôturait par le pot de l’amitié – internationale .
Linda lit 3 poèmes accompagnée à l’accordéon par Jean-Paul Sire
Vernissage de l’exposition Eclats et reflets, avec les gouaches du grand peintre Roumain Petru Birau et une serie de tableaux collages en forme de coeur de l'artiste Pari qui s'est inspiré du recueil "Le fil du miroir".
Un format original pour ce beau recueil édité en 6 langues (Français, Anglais, Espagnol, Roumain, Russe et Serbe).
Linda Bastide entourée de ses amis à l'auditorium de la médiathéque de Narbonne. En compagnie du directeur Sylvain Panis et d' d’Aline Béraud, directrice adjointe artistique. Avec la présence du grand peintre Roumain Petru Birau et d’Elisabeta Bogatan (traductrice et éditrice de le version roumaine, mandatée par la Municipalité de Petrila Roumanie). De l'artiste PARI de Perpignan, Jean-Paul Sire acordéoniste, Jean Olivet est venu les rejoindre à la guitare.
Jeudi 1er décembre a eu lieu une soirée exceptionnelle
à l’auditorium et à l’espace Reverdy de la Médiathèque de la ville de Narbonne.Linda Bastide a présenté et dédicé son dernier recueil "Le fil du miroir", merveilleusement illustré des gouaches du gand peintre Roumain Petru Birau.
Conférence d’Aline Béraud,« Histoire de miroirs »
Petru Birau grand peintre Roumain qui a merveilleusement illustré les 6 recueils de Linda Bastide
Les magnifiques collages artistiques de PARI
Linda Bastide, poète-écrivain, Ambassadeur à Narbonne pour La République de Montmartre .
Linda Bastide raconte  "Marcel-Charles   Gaichet ou Le côté d'où vient le soleil"  Éditions Nouvelle Pléiade
-Violette Medrano, qui, un éléphanteau en laisse, (elle vient du cirque paternel voisin sur le Boulevard de Clichy), entre dans la pharmacie des parents de l’actuel Président Jean- Marc Tarrit, et demande du lait pour le grand bébé qui bouscule un peu les rayonnages et leurs boîtes et flacons …- Pierre Bellemare, homme télévision, saltimbanque à son heure, Membre de L’Académie Alphonse Allais avec laquelle La République est jumelée.- Shirley Franklin, maire d’Atlanta, capitale de l’Etat de Géorgie.- Laurant Deutsch, grand comédien, histoirien et amoureux de Paris, auteur de « Métronome, l’Histoire de France au rythme du métro parisien ».
- Sans oublier Gilbert Pla, maire de Coursan, Conseiller Général de l’Aude.Quelques Députés, Sénateurs et Consuls voient ainsi reconnus leur implication dans la vie de Montmartre associée à celle de leur pays, ville ou village d’origine.
Comme d'habitude, la revue Paris-Montmartre se fait l'écho de cette fête et par la même occasion mentionne la sortie en 6 langues du nouveau recueil de Linda "Le Fil du Miroir", dont les traducteurs sont des poètes qui ont surgi par magie des 4 coins du monde.
-Tout comme Petru Biraù, le grand peintre Roumain dont les 13 gouches, arrivées au printemps comme le fait le mimosa, en cadeaux  d'anniversaire à Linda, se sont tout naturellement posées entre chacun des 13 poèmes.
-Tout comme l'incroyable aventure du  traducteur du recueil anglais ,Herman Rubin Armas, vénézuelien d'origine allemande qui par un beau matin les a trouvé sur son burea, envoyé par un ami Anglais de Linda....!
-Tout Comme le traducteur serbe Slavomir Gvozdenovici grand poète dans son pays qu' Elisabeta Bogatan, ( elle même traductrice roumaine) a été déniché au fin fond de la serbie
-Tout comme le traducteur en russe Bogdan Saczkowski, français d'origine polonaise, grand potier-poète dans le joli village d'Ouveillan, éclaboussant de la lumière du midi ses poteries-poèmes.
- Tourne tourne la terre au rythme des miroirs reliés peut-être, sait-on jamais, par le fil d' Ariane vers d'autres horizons .
C’est à la fin de la semaine des Vendanges de la Vigne du Clos Montmartre, qu’à lieu chaque année l’intronisation de celles ou ceux qui dans un registre ou l’autre sont dans l’un ou l’autre des chemins de la Butte . En cet « An de grâce 90 », au restaurant La Bonne Franquette, Monsieur Alain Coquard Ministre des affaires étrangères et Madame Weiss Ministre du Protocole, ont élevé au grade d’Ambassadeurs de la République de Montmartre :
- Pour le Japon, Motoichi Takemoto scientifique, professeur d’anglais, Ambassadeur à Kobé.
- Pour le Brésil, Rodolfo-José Lyrio-Viana, Ambassadeur à Rio.
- Pour la Grèce, Gkotzilas Antonio, Ambassadeur à Tessalonique.
La République de Montmartre dont la devise est « Faire le bien dans la joie » fut fondée par Francisque Poulbot et son premier Président fut Georges Clémenceau. Elle fête cette année ses 90 ans dans le respect des traditions et dans l’esprit insufflé par ses fondateurs, et elle reste fidèle à cette triple vocation qui fait son originalité et lui donne une place particulière à Montmartre et dans le monde entier.
- Vocation artistique : réunion d’artistes plasticiens, de gens de lettres, de musiciens,
- Vocation philanthropique : soutien fraternel et amicale avec de nombreuses associations de jeunes - le P’tits Poulbots qui partent battre tambour dans le monde entier, les Papillons blancs, etc… - soutien scolaire, invitations à diverses sorties au cirque et ailleurs …
- Vocation de sauvegarde des traditions montmartroises de son humour, de son esprit frondeur et de sa culture, toutes choses qui contribuent à un rayonnement planétaire. Dynamisme et volonté de développer une communication tant interne qu’externe, sont les buts jamais démentis de notre République.
" Le Mur Littéraire "
            Français
                   de
      Linda Bastide
Ambassadeur - Poète