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Malgré le petit froid venu sans doute de Sibérie, les exposants et le public courageux se réchauffent d’amitié, de bavardages et de chansons…
Les images parlent toute seules, mais comme on ne peut héla jamais nommer tous ces artistes amateurs ou pas qui se lèvent tôt dans le petit matin gris, et viennent de plus ou moins loin, nous apporter le résultat des derniers 12 mois de 2017.
C’est toujours pour moi un bonheur de retrouver Gérard Romero, le Président d’Art et vin qui court, court  tant et tant, que cette année j’ai raté le photo du siècle : je l’ai aperçu de loin cavhé sous n grand chapeau. Mais merci quand même Gérard ôur le mal que tu te donnes !
Sous titres de mes 5 photos : 1- La grande salle, 2- l’écrivain Alain Birot, 3- Attias qui propose les mêmes chapeaux que ceux qui sont sur la tête des ambassadeurs, députés, ministres de la République de Montmartre. Je lui en ai acheté un, tout beau, tout neuf ! 4- Me voilà près de la porte, un peu gelée, et floue parce que B Knobel, reporter d’élite avait froid aux mains ! Et enfin, photo 5, une chanteuse à la magnifique voix nous a encore retourné le cœur en nous chantant « Que je t’aime » de notre Johnny
Pardo Gérard, mais on dit bien : « Mieux vaut tard que jamais ! ».
A l’an que ven. Reportage Linda Bastide
Le 10 décembre 2017: Marché de Noël de La palme à la salle Jean Moulin.
Je suis contente de retrouver Nicole et Francis Becker qui viennent de Sigean : elle fait de merveilleuses cartes de Noël et Bonne Année : en relief, des anges, des chatons, des fleurs… Nicole m’en offre une, je choisis les chatons qui jouent avec une pelote de laine miniature, je vais l’envoyer à Peter, mon ami anglais, archiviste de cinéma, qui chaque année, lui, m’envoie les mêmes petites souris en feutre pour mes chats ! (2) Je me promène et à l’autre bout du bout devant la scène Grotti dédicace ses livres : le dernier s’appelle « De mère inconnue ». Il es sympa, son super succès ne lui monte pas à la tête !(3)
A côté de moi, Nathalie vient de Fitou, le village de mon enfance chez mes grands parents Biscaye. Elle peint des verres avec une peinture indélébile § Ma grand-mère Bastide de Narbonne  faisait pareil, mais la peinture d’il ya 50 ans a fondu et il me reste des ombres de grappes ou de fleurs, comme de vieux poèmes oubliés ! Elle propose aussi des confitures : rien qu’à les regarder on a envie d’ouvrir le pot tout de suite. (4). C’est Danièle qui nous prend en photo, Bernard Knobel et moi. Au moins la photo n’est pas floue ! Mon stand est très grand, je me régale de raconter mes livres et ce film fabuleux « La Dérive » qui tourne dans le monde entier et a trôné sur écran géant à Brooklyn l’année dernière ! ! ! ! Et dont je suis « la vedette » ! ! ! … Le temps passe…
Bravo pour tous les inconnus qui sont là : c’est beau, ça a un petit parfum de nostalgie… on est loin des trucs sans âme qu’on achète en ligne ou dans les supermarchés. Le patrimoine d’aujourd’hu et de demain est là. Pour finir la journée la Chorale Accroche-cœur de Ginestas ( en jaune) est sur scène avec Ultresa en rouge de Lézignan. Une super belle journée
Reportage et photos Linda Bastide.
On s’habitue bien au bonheur ! Bonheur de retrouver des amis de l’année d’avant et même de celle d’avant d’avant… Pour le cas où on aurait perdu la tête, un grand 2017 rouge est peint sur le grand mur du fond.  (1)
« Dimanche 17 décembre : Ginestas et son immense salle accueillent le marché de Noël 2017 »
C’est vrai que je suis une fan de ce Café où les murs ont entendu tant et tant de rires que je me demande pourquoi ils ne se gondolent pas !
Donc chaque fois que je suis à Narbonne, je cours, sus aux vitrines où sont accrochés les programmes des spectacles que Sandrine et Guy ont mis à l’affiche.
Foi de parisienne-montmartroise, et je le dis avec un peu de tristesse, « on n’a plus ça à Paris, ou si peu ! » les petits théâtres intimes où on passerait bien toutes ses soirées….Jean Jacques de Tapia, le nez en l’air et l’air de rien, c’est un grand de chez grand. Avec une carrière plus impressionnante que celle de nombreux rigolos à la mode-du-copinage-de chez copain !
Je ne résiste pas , avant de vous parler du « one-man-show » de ces quelques soirs où il est narbonnais, à la joie de vous dire – en bref d’accord, mais j’y tiens -  qu’il n’arrête pas depuis 1987 où il a inventé  le faux serveur repris par beaucoup de comédiens et de troupes et qu’il a fait hurler de rire les spectateurs de l’Olympia, du palais des Glaces, de la Comédie de Paris, des Variétés, du Casino de Paris, etc…Des pièces (Clinic au succès international) La Bande Dehouf, sport Cut, des Prix du Public et des Prix du Jury ou de la Presse en veux-tu en voilà,  et des Prix des Professionnels des Cafés Théâtre à ne plus savoir qu’en faire. De la télé, le plus grand cabaret du monde de Patrick Sébastien, et sur le divan rouge de Drucker, du cinéma avec Luc Besson et les aventures d’Adèle blanc sec,  un duo avec Anne Roumanoff, bref comme on dit à Narbonne et dans tout le Sud, quand je suis allée voir son parcours après le spectacle chez Guy de Narbonne, « je suis tombée de cul », après avoir failli mourir de rire.
Mais pas d’un rire bête en réaction avec un spectacle au ras de pâquerettes ! ! !, Jean jacques c’est, et je suis sûre que vous aller le comprendre avec mes mots à moi, « l’absurde intelligent », «  le super-absurde super intelligent ». Bref,  je n’en suis pas encore remise et j’y retourne ce soir, puisqu’il est là pendant 3 jours.
Et si on se le kidnappait pour se le garder tout l’hiver, qu’il nous fasse chaud  au cœur ?
En espérant qu’il rate une fois de plus son suicide, le saut, depuis le haut d’une échelle, dans un bol d’eau !
Reportage Linda Bastide
 
« Jean- Jacques de Tapia au Café de la Poste de Narbonne : »
C‘est à Argeliers que le Marché de Noël a aujourd’hui déployé ses stands dans la grande salle municipale. (1). Fermons les yeux : Nous sommes en …. 2016….2017…. 2018 ?
Tout comme l’année dernière, et comme l’année prochaine,   Josette Picassouet toute l’équipe du Patchwork ont organisé de magistrale façon cette fête où nous nous retrouvons.  Les mêmes, devenus amis à force ! Il y a un proverbe occitan que je me garderai bien d’écrire dans cette langue, mais qui dit : » A l’année prochaine, et si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins !... A l’an que ven…. »
Il y a là Alain Birot  (Alain, est aussi éditeur avec  Droits de Paroles), un Alain au talent d’auteur si grand, qu’il se surprend lui-même en écrivant ses romans policiers-patrimoine, pardon Alain de ce mot que j’invente mais qui te va si bien, toi qui mets toujours tes intrigues quelque part du côté de chez nous. Deux romans pour l’instant. En  2015, « Vents de démence sur Narbonne » une enquête policière en marge de l’histoire de la ville. Et, sortie prévue  le 10 décembre 2017 « La malédiction de Minerve » , histoire d’un anathème, une enquête policière alliant spiritisme, alchimie, histoire des religions et celle de Minerve. (2). Il y a là  Attias, un philosophe vendeur de chapeaux cloches ou pas, et de bonnets colorés. Quelqu’un de bien comme dit la chanson, qui dans le brouhaha de la vie trouve toujours le chemin de l’amitié, de l’indulgence, bref, quelqu’un qu’on aime retrouver.(3). Il y a là Colette Ercilbengoa et Odette Herrera,  aux doigts agiles pour le tricot et la première agile également avec des pinceaux, et qui sans se douter qu’elle le serait un jour,  a fait, il y a 2 ou 3 ans,  le portait de la Ministre de Sports actuelle, Laura Flessel ! (4). Et il y a là Linda Bastide qui joue les Père Noël en offrant à ses lecteurs des affiches des vendanges de Montmartre et des cartes postales où sourient les danseuses 1900 du Moulin Rouge. (5). On connait ses  promenades en romans et poèmes dans son pays natal, le vôtre et dans sa vile de migrante très bien intégrée, Montmartre.
Il y a là…. Mais venez donc l’année prochaine et vous les connaitrez tous ! Chacun dans leur domaine, ils sont super.
Reportage et photos Bernard Knobel
« Déjà le 26 novembre ! Le temps passe vite ! »
Le chœur : Un rire de soleil entre deux ombres d’arbres déchire l’air à dents d’été. L’Île-Montagne est au Levant. Le ciel revient, nimbé d’or clair. Au centre d’un silence de début du monde. Mais, l’âme de la Clape, à mon âme amarrée. Le Récitant : Hôte du roc sacré, lour d’un Dieu qui marchait sur les mers, Pech-Céleyran, cathédrale secrète, attentive au poids ralenti des vendanges, cathédrale secrète, où le profond du bois, complice, dérobe la malicieuse part des anges… Prières pleines de force et de lumière, les poutres séculaires veillent : au cœur des foudres, le sang des vignes bat, magie d’un univers fervent . Les jours suivent les jours à grands pas de leurs ombres jaunes. Ici, les chemins vont aux sources de la vie. La journée du dimanche se poursuit et se termine par les meveilleux petits chanteurs de Narbonne, dirigés par le chef de chœur Cécile Capomaccio. (6)   
Reportage et photos Bernard Knobel
Un gigantesque et somptueux Marché de Noël à Pech Celeyran dans les immenses chais du domaine a réuni tout ce que l’artisanat d’Art compte d’originales et belles créations. Pendant 2 jours, créateurs et visiteurs ont sympathisé dans une ambiance festive organisée avec maestria par Marie-Bénédicte de Chantal, responsable de la réussite de cette fête à Salles d’Aude.
Dehors, un public heureux profite du soleil, (1) et, sous la voûte de la charpente de bois vieille de plusieurs siècles, tout du long des foudres à l’impressionnant diamètre, séculaires  eux aussi, les exposants sont visiblement heureux. (2). La fenêtre qui donne sur garrigue accueille, sages sur de la paille fraÎch, Noël oblige, l’Ange Gabriel enveloppé de ses grandes ailes blanches Marie et son bébé Jésus dans les bras, et un joseph imperturbable. (3). Tout près 2 stands parmi les dizaines d’autres : celui de Sylviane Wilmet qui sculpte ou plutôt façonne entre ses doigts, des feuilles de papier imbibées de colle qu’elle transforme en danseurs de tango, en amoureux sur un banc et etc, au gré de son inspiration. (4). Tout à côté, Linda Bastide, (5) écrivain descendu de son Montmartre et de ses vignes, qui ont l’appellation culture bi, propose en même temps des affiches de vendanges de la Butte, et la dédicace de ses romans et de ses recueils de poésie, dont l’un, intitulé « Ile-Montagne de la Clape » contient un texte pour le Château de Pech-Celeyran. Ce recueil épuisé en français, a été réédité en bilingue français-occitan, et voici le poème, écrit à la façon « antique » avec Le Chœur et Le Récitant :
« Linda Bastide chez Jacques de Saint Exupéry »
Cette dernière d’ « A tout bout de chant » soirée au local de la Nautique, qui avec sa terrasse de bois au bord de l’étang balayée ce soir par un léger vent grec, est l’endroit le plus poétique de la région. Olivier Munge, « le chef » créateur de l’Association, et Corinne Beau animatrice des stages de chant, nous on préparé une soirée exceptionnelle  qui s’est déroulée de magnifique façon et se terminera  par la chanson « On vous souhaite tout le bonheur du monde ».
Un public fidèle, et tant pis pour ceux qui étaient en vacances : ils ont raté un moment de bonheur.
Olivier Munge nous avait envoyé ce mail : Bonjour les amis, Le vendredi 18 août à 20h aura lieu notre concert de fin de stage… Nos stagiaires auront le plaisir de vous présenter le répertoire varié qu'ils  auront préparé intensément durant cette belle aventure humaine et chantante.
Quelques mots sur le déroulement de la fête musicale : Corinne  Beau, pianiste de surcroit, a réussi la prouesse de mettre au point en huit jours à peine ; un spectacle ébouriffant avec sept amateurs plus talentueux les uns que les  autres, et surtout d’une authenticité émouvante : Catherine, Claude, Danièle, Ghislaine, Michel, Patricia et Véronique. Ils ont mis au point, en chœur ou en solistes quelques chansons parmi les plus belles : "Les ballons rouges" de Serge Lama, "Les mots" de Renaud, "De retour à la source" de Isabelle Boulay, "Le jardin extraordinaire" de Charles Trenet, "Sur la route de Memphis" de Eddy Mitchell, et comme le montrent ces photos, la promesse a été tenue.
La deuxième partie du mail d’Olivier Munge dit : notre association sera heureuse de partager avec vous cet évènement qui clôturera plus de 4 ans d'activités et de spectacles dans ce lieu magnifique qu'est le Nautic'Chant. Nous terminerons la soirée en partageant avec vous le traditionnel verre de l'amitié, pour un moment convivial d'échanges, de plaisir et de joie.
C’est bien vrai que, le spectacle terminé, tous réunis autour de la table conviviale, ils ont évoqué leurs projets, projets de belles soirées à venir : dès la rentrée, l’aventure continuera à l’Espace Léo Lagrange de Narbonne.
Il nous manquera l’infini de l’étang, mais une nouvelle aventure commence et elle sera, comme elles sont toujours été, sous le signe du bonheur de participer à – et ce n’est pas un mot trop solennel – à la pérennité de notre culture. Dans la joie la plus simple, et l’éblouissement  de quelques soirs magiques.
Reportage et photos Linda Bastide
18 août 2017 : La dernière d’ « A tout bout de chant »
Nous sommes super gâtés cette année : la fête ARTS’MISSAN se déroule par un petite après-midi douce avec son soleil voilé et son tout petit vent tiède ! On se régale, les peintres qui ont leurs tableaux au frais, les écrivains pareil, les organisateurs aussi, bien entendu ! Et le public !
On se promène de stand en stand. Sur la place, et ils sont trop nombreux pour être tous cités, on remarque une sculptrice sur bois très talentueuse.
Cette année, Linda Bastide offre aux jeunes lecteurs de son « Fétu de paille l’Épouvantail épouvanté » les originaux des dessins de Natalia Aparicio signés !
Grotti, sort un nouveau roman ! Dany Arnaud et Pierre Vacher exposent leurs toiles.
La petite place au fond de la grande flemmarde sous les arbres, maisles artistes y sont aussi très présents. L’organisatrice  Anne-Marie Albret zigzague entre les stands pour, dit-elle « voir ce que l’on peut améliorer pour l’année prochaine » Maryse Delpech  s’active aussi  en responsable du bon déroulement de la fête.
Alors quand se termine cette après-midi pour la remise des Prix par Mr le Maire Roger Frère et son équipe : les lots sont nombreux et, chacun des arts est récompensé.
Linda Bastide reçoit … le Prix de la Fidélité ! Il est vrai qu’elle est là depuis quelques années  et manifeste toujours son amitié à Armissan. Elle dit : » quelquefois, je me sens plus armissanaise que montmartroise » Près d’elle Pierre Vacher rigole, il a eu un Prix de peinture évidemment, mais c’est à Linda qu’on a offert, en plus de quelques livres,  tubes de peinture à l’huile, pinceaux et quelques tableaux !
La fête se termine par le traditionnel apéritif fait des bons vins du pays et de quelques jus de fruits  (sobriété oblige), on est tous contents. Super bonne idée cette fête de 15h à 20 h : les vacanciers étaient là, curieux, intéressés et contents. A l’an que ven !
Reportageet photos  Bernard Knobel
2017- 15 Août à Armissan « LA FÊTE ARTS’MISSAN »
Mais la tradition écrite et picturale classique sont toujours là, à l’abri du vent et du ssoleil dans la grande Halle qui depis des années les abrite et les reçoit.
Cette année nous avons eu le plaisir de les retrouver ces écrivains et peintes de notre belle région du Sud : Fernand Camparol, (photo 1) romancier toulousain dont l’œuvre se diversifie dans le genre romanesque, qu’il soit linguistique, policier ou livre pour enfants… L’amour de la nature reste au centre de son ouvre avec le développement des contacts humains. Il se définit comme un romancier moins narratif que descriptif. Il considère que la littérature doit toucher tous les milieux. Monique Lettantec (photo 2) est à l fois romancière et éditrice. Régine Nobécourt, (photo 3) met beaucoup d’humour dans ses poésies et ses nouvelles, à preuve son petit dernier «  Belle-mère, garce ou sainte » Ed Morigane. Bravo à la Revue Souffles, (photo 4), qui depuis 2 ans met en valeur les écrivains méditerranéens, et fit aujourd’hui un appel à textes !
22 et 23 Juillet « L’été des artistes » : La fête de La Palme organisée par l’Association Art et Vin, est passée depuis quelques jours… Mais que sont quelques jours face à l’éternité ?. Le mur de tags est terminé, mais il va rester là, témoin  intemporel  d’un nouveau langage qui, au-delà des mots dit les émotions, les désirs d’évasion, les rêves d’une nouvelle génération qui invente des mots de couleurs au bout de ses rouleaux et ses bombes de couleurs.
N’oublions pas Annegret  et le jeune Camille Maître (photos 5-6) qui donne espoir dans la relève ! Son dernier recueil de nouvelles, de New York à Mauguio Ed L’An Demain, est un chemin de rencontres émouvant qui ne prend pas la tête mais le cœur!. N’oublions pas les peintres,  Georges Martinez et Serge Tirefort  (photos 7 et 8)) et félicitons enfin l’organisateur de cette fête culturelle. Merci  de faire que ce qui est beau ne disparaisse pas !  A l’an que ven !
Reportage et photos Linda Bastide
« L’été des Artistes 2017 à La Palme»
Elle est au milieu des herbes et des cailloux, avec déjà son grand jardin à la palissade de piquets de bois. Ma grand-mère a pris son porte plume et, trempant le fin bout d’acier de sa plume Sergent Major  dans l’encrier de cristal, elle a écrit au dos : Maison Bastide construite en 1931, rue Fabre d’Eglantine, 53, Narbonne. Je lis les larmes aux yeux : nous avons exactement la même écriture, elle et moi. Elle qui m’a appris à lire et à écrire dès mes 3 ans, avec des bouts de carton de toutes les couleurs, où dansaient les lettres au milieu de fleurs magiques…
2017 - Je suis allée ce matin prendre 3 photos de " ma  "   maison, devenue  il y a longtemps celle d’inconnus discrets :
Le premier cliché, je l’ai pris en face et de l’autre côté du Boulevard Kennedy, pour qu’on aperçoive la pancarte qui dit que la voiture blanche se dirige vers Gruissan et Narbonne-Plage. Du temps de grand-mère et grand père, le no mas land se terminait par les Jardins d’Antoine. Des jardins que des années plus tard, nous allions cambrioler, nous les sages enfants du quartier, Claude Carayol, le fils de laitier, Robert LLugain et sa sœur Bernadette, les enfants d’un représentant de voitures américaines,  la petite voisine Ginifri, dont le prénom s’est perdu dans ma mémoire… Ah, les cerises et les abricots d’Antoine !
Sur le deuxième, prise au milieu du terre plein qui sépare les 2 voies Kennedy, on peut presque apercevoir le Palais de Justice d’aujourd’hui, en marchant encore un peu vers le haut.
Quant à la  troisième photo, c’est pile en face, devant le coin de la maison LLugain qui n’existait pas encore en 1931, que j’ai flashé au hasard : le cadran de mon appareil était  noir pour cause  de soleil dans le dos. Ok, elle est la jumelle parfaite du vieux cliché !
Dans le jardin-fouillis de 1931, grand-père avait un puits qui, avec les godets de sa roue, allait chercher l’eau dans les profondeurs d’un aqueduc  romain ! Et le figuier planté juste à côté, qui buvait nuit et jour l’au des siècles passés,  ressemblait à un baobab et nous dormions dans ses énormes branches-berceaux.
Le jardin de grand-père a disparu sur les trois images. Pauvre jardin assassiné en 1955 pour cause de maison trop petite : un  nouveau garçon venait semer la panique dans la fratrie de  4 enfants heureux. Et c’est lui, le responsable de ce crime !
Voilà, la photo jaunie est tombée hier d’un minuscule album à la couverture de toile posé depuis des siècles sur le même meuble de ma véranda, où grand-mère a brodé il y a des siècles aussi, deux enfants qui dansent.
Texte et photos Linda Bastide. Photos archives de la famille.
1931/2017: La Maison Bastide
J’ai pris, pour qu’ils soient mis en valeur avant l’arrivée de la foule des amateurs et amis,  une photo de la salle vide d’humains et rayonnante des œuvres des peintres…Au pied des murs les œuvres encore fraiches des « peintres de la rue »
Et j’ai bien fait ! Quand ils arrivent, les amis et amateurs, la petite salle  est au bord de l’implosion en quelques secondes ! Le président Guy Dessandier, le Maire Gilles Messeguer, les membres du bureau, Félicia Gonzalez et David Butaud, sont heureux de décerner de magnifiques coupes  aux lauréats du concours qu’un jury compétent  honore chaque année :
En cet Août 2017, Chantal Lhote se voit décerner le 3ème prix, Richard Linares le 2ème et Roger Fages le 1er.
Seul écrivain-chouchou de Luc, Linda Bastide dédicace quelques livres, sagement assise dans un rayon de soleil. Parmi ses lecteurs du jour, une fidèle qui a lu "tous ses livres " et pose derrière elle, et  "Corinne la postière " qui saute sur le CD où se trouve une chanson de Linda  " S’il  te plait Père Noël " et qui  lui parle de son fils Sansimon, chanteur, déjà bien connu (émission The Voice, etc…) dont la voix plus belle et plus haute que celle de Balavoine fera bien du chemin dans les cœurs…
La soirée se termine par le pot de l’amitié, dans un brouhaha plus fort que le vent qui, dehors, a empêché la fête de se dérouler sous le platane.
Alors, " à l’an que ven », et avec le plus grand plaisir !
Reportage et photos Bernard Knobel.
La 25ème édition de cette fête  "Les peintres dans la rue ", organisée par l’association " Les talents du terroir  " réunit  sur les murs de la salle Ferroul les tableaux de tous ceux-là, passionnés, talentueux, qui tout au long de l’année mettent sur leurs toiles leurs émotions devant un paysage de notre magnifique région, un portrait ou quelques fleurs éphémères, qui tous, acquièrent de ce fait une touchante éternité…
Vendredi  11 août 2017 à Luc sur Orbieu
  C’est la fête annuelle des peintres et de leurs tableaux qui commence !
Dany anime l’atelier libre de peinture de Gruissan, et a organisé avec maestria cet " Art à la Plage 2017". Ils sont raffinés les bijoux de Pierrette Bidaut (Photo 3) et tous, ici le savent, qui la rencontrent  à tous les marchés de Narbonne Plage. Elle est ici, dos à la mer, pile dans une pénombre qui plait bien à mon petit  Lumix
Je traverse la place : d’étranges bouquets de fleurs m’attirent. Eh bien non, ce ne sont pas des bouquets ! Ce sont des théières-fleurs ! Monique Agneray (photo 4) a une imagination " top délire ". Pour elle, l’art est un jeu autant quand elle joue avec la terre ou s’accroche à ses pinceaux ! Liliane Vozza (photo 5)  que j’ai rencontrée l’année dernière à La Tramontane  est une aquarelliste passionnée par la diversité des paysages de l’Aude. A mettre au patrimoine Culturel ? Tout passe et change si vite ! Mon tour de piste se termine : je tombe carrément sur une bande de joyeux  amis, et  parce que je la connais bien pour avoir été invitée chez elle l’année dernière, mon Lumix fait un caprice : une sixième photo de Maryse Delpech (photo 6)) entourée  par Virginie Serin plasticienne autodidacte – ça ne s’invente pss ! -  de Fabien Sirot, créateur de mode à Paraza  !
Dany mon amie, moi qui viens de Montmartre, et de sa Place du Tertre, lieu culte des peintres depuis des siècles, je te le dis de tout mon cœur : c’est autre chose, ici, mais c’est aussi super ! Reportage et photos  Linda Bastide.
Dany Arnaud a réuni  ses amis peintres, artisans de toutes sortes, céramistes, sculpteurs, créatrices de bijoux etc…  sur une grande place, pile au milieu du long et magnifique  front de Mer de Narbonne –Plage. Les vagues sont à portée de regard, leur ressac sur le sable fait une musique de bonheur. Le soleil lui, il  fait ce qui lui plait : quand j’arrive, il se dilue dans un  gris romantique, le même que l’on retrouve sur une toile, ici ou là !. Ok je n’aurai pas de contre-jour pour me photos ! Perdu ! Cinq minutes après, Sa Majesté le Roi de l’été se pavane entre tableaux, bracelets et colliers, sculptures, bref, il va falloir faire avec !
J’aimerais offrir des photos de tous, mais ce n’est pas possible, ils sont si nombreux. Alors j’avance timidement, je me fais toute petite, et Monsieur le hasard déclenche mon appareil comme il veut, au gré de l’éclairage sans doute … Quoique ! ! ! J’erre un peu, le nez en l’air et l’air de rien…Me voilà devant de stand de Valentine Lastra (Photo1) : magnifique art abstrait, tout en douceur et profondeur. Elle me  dit faire partie de « Peintres  en liberté » de Gruissan, et qu’elle  a exposé à Pic Sel  du 15 mai au 15 juin. Bravo Valentine ! Tout à côté mon appareil s’immobilise et clique sur les tableaux de Dany Arnaud (Photo 2. Elle a une totale maîtrise de toutes les techniques : huile, pastel sec, aquarelle… C’est à na pas croire elle invente une poésie inconnue : l’un de ses tableaux est  peint avec  des pigments de poudres de cuisine, coriandre, muscade, un autre cache sous du crépi de maçon un extraordinaire sillage d’étoiles …
Narbonne-Plage 30 juillet 2017: L’ART À LA PLAGE.
Fidèle à lui-même ce haut lieu du « rire à Narbonne » nous a encore réservé une époustouflante soirée.
Venue du mode montmartrois des années Lula, (photo 1) ayant fait un détour  dans tous les endroits possibles et imaginables où se perpétue la tradition des comiques gaillards de provençaux pittoresques , ZIZE se retrouve là, pour le plus grand plaisir de ceux qui savent qu’il faut tout abandonner et courir passer la soirée chez Guy .
Un bref rappel du parcours de Zize,  qui confirme le talent du Maître des lieux pour dénicher « les perles rares » du show-biz-total bonheur !
Zize, pur produit régional, comédien chevronné, s’oriente dès son adolescence vers les scènes de cabaret  parisiennes  les plus célèbres – Madame Arthur, Michou, que nous connaissons depuis la  même éternité (photo 2) – où il crée de nombreux personnages, plus vrais que vrais. Si super que l’international le réclame, lui, l’as du maquillage artistique et du trompe-l’œil.
Guy et les narbonnais ne s’y sont pas trompés ! Notre comique à l’envergure désormais mondiale, nous a régalés de son nouveau spectacle hilarant et décapant. »La Famille Mamma Mia » (photo 3 et 4)
Une Zize azimutée y devient la belle-fille  » d’une belle-mère comme on n’en fait plus. Zize, déguisée extravagante suédoise échappée du Vieux port,  devenue « Miss Marseille »  se déchaîne, dans un humour qui cavale plein pot, nous entraine dans son monde extravagant et jubilatoire. Une cascade de situations déjantées, une imagination joyeusement loufoque, un cynisme cinglant, et son  personnage est l’une des ces figures gratinées, qu’elle adore nous offrir, avec leurs inoubliables tronches en biais…
Si vous avez loupé ce spectacle, sachez qu’il reviendra, à Narbonne. Très bientôt.
Pour moi, amie de toujours de Michou, et qui avait raté ses prestations dans le célèbre cabaret, bien connu pur ses artistes au super talent, ce fut une joie sans précédent de voir notre Zize, et je suis fière qu’elle ait accepté que l’on nous tire le portrait ensemble (photo 5) ! Quand nous nous retrouvons devant le Café de la Poste , une surprise m’attend, Freddy de chez un Michou surgi lui aussi d’un lointain passé, me fait u bisou amical !
Reportage et photos Linda Bastide. (Potos d’archives L Bastide et Zize)
 
31 Mai 2017 : Le Café de la Poste au top du délire !
Les photos en disent plus qu’un long discours : musiciens – dont Dédé, le patriarche qui est toujours un fabuleux trompettiste et se mêle aux 2 musiciens sans avoir rien oublié de ce qui faisait danser hier et fait danser aujourd’hui – et les  convives-danseurs  ont tournoyé sur la piste avec le madison (médiéval ?) le jerk (médiéval ?) la valse  ou le tango qui les ont entraîné jusqu’au bout de la nuit ….
Reportage Linda Bastide, photos Bernard Knobel
Une Fête médiévale déchaînée dans  l’endroit le plus insolite du Sud, une bergerie du Moyen âge sans doute, transformée en restaurant-boîte de nuit sous les étoiles, par le doyen de la famille Dédé Vidal. Ses fils et petits fils, bardés de diplômes, sont revenus « à la maison » et qu’ils soient aujourd’hui,  vignerons, (Thierry et sa cave où l’on déguste la « Cuvée Jean Marais »), comptable et gérant (Jean-Luc) et les « petits » de la 3ème génération,  ils sont  tous sont amoureux et du village et de cet endroit magique.
Tout au bord de la garrigue que l’on aperçoit au-dessus de la mezzanine au mur de pierres séculaires, une première salle où s’étale un buffet à volonté si frais, si succulent, que je lui donne 4 étoiles ! Puis vient la cour intérieure et sa falaise, où poussent quand même quelques un de ces arbustes et plantes qui n’ont pas peur des pierres. Au bout, sous un murier platane, une scène naturelle où se jouent  toujours les  musiques d’un soir… Puis la véranda, à la  place du vieux courtal où, davant la bergerie, l’on parquait les troupeaux de brebis et les chèvres du temps de nos grand-mères ! Pour moi, c’est le plus beau restaurant du monde !  Aujourd’hui, c’est une « fête médiévale » qui accueille 94 convives (il n’en contiendrait pas 1 de +) avec un apéro à l’hydromel et deux cuistots qui ont tourné au tournebroche « d’époque » une énorme cuisse de veau…
14 Août 2016 : Au Courtal del Vidal, à Fitou, mon village d’enfance, il était une fois ….
J’ai eu le temps de jeter 2 yeux dans ses 2 livres : ça en vaut la peine ! (6). Sur ma gauche, quelques copains d’un autre peintre bavardent. On a le temps, il passe, entrecoupé par un apéro convivial sur la terrasse, entre pré et grande salle, un grignotis de bonnes pizzas et de super frites...  Nous les écrivains, qui nous ne nous connaissions pas, nous sommes devenus de vrais amis : Alain Birot téléphone à la médiathèque d’un autre petit village des Corbières … pour me faire inviter, Rémi se précipite sur 2 de mes recueils … Super ! Et si rare…
Reportage Linda Bastide. Photos Bernard Knobel
Bravo aux organisateurs courageux qui défendent la culture, becs et ongles : il y a quand même eu un peu de monde, quelques égarés « de qualité », on a papoté, ri et noué de vraies relations amicales. Bravo aussi  aux artistes fidèles au poste : de nouvelles amitié se sont nouées : Guy Gaxieu, peintre et Président de la MJC Les Talents du Terroir de Luc sur Orbieu,  (3), à l’ombre d’un grand arbre, venant de temps en temps prendre le frais auprès de ses amis, moi-même, patientant sous le regard des portraits peint par notre grand Marcel-Charles Gaichet, (4), un peinte sympa en face de moi, (5)
Puis, à ma droite,  Alain Birot,  jeune écrivain déjà rencontré à La Palme, et dont le premier  roman « Vents de démence sur Narbonne mérite chaque jour davantage ce que j’avais dit de lui en août, à savoir que c’est, un policier très bien ficelé, haletant à souhait et qui vous  emmène dans un train d’enfer. Les rares visiteurs de Villessèque ne s’y sont pas trompés !  Près de lui, je découvre un très  sympathique garçon,  écrivain lui aussi, Rémi Boyer né dans les Corbières,  écrivain poète autodidacte qui surfe entre le classique et la forme libre, qui commence fort avec un  premier prix du Calligramme des Jeux Floraux Méditerranéens 2014 et présente aujourd’hui  Itinérance Méditerranéenne, éditions Edilivre 2010 et Du dehors au dedans, édition La Nouvelle-Pléiade 2015.
C’était hier, c’était à Villessèque des Corbières, c’était sous un soleil de plomb, dans un immense pré, c’était aussi à l’ombre pour quelques uns, qu’artistes chanteuses, (1) peintres, (2) artisans et écrivains, ont sympathisé tout du long d’un samedi 3 septembre oublié dans un coin d’agenda par des touristes ayant regagné leurs pénates, et des « locaux » n’ayant pas le courage de mettre un pied au soleil….
Villesèque - des- Corbières: Le soleil a refroidi le public
Pardon de ne pas pouvoir tous les citer : un peu scotchée sur mon stand, entourée d’amis de Marcel Charles Gaichet qui ont fait main basse sur ses derniers  portraits-minutes, j’ai envoyé mon photographe faire un petit tour : il a retrouvé le jeune écrivain avec qui nous cohabitions à La Palme, Alain Birot et son premier roman : « Vents de démence sur Narbonne ». Il a quelquefois ris les photos d’un peu trop loin : il avait le soleil couchant  dans les yeux.
Mais il n’a quand même pas raté le chaleureux discours de Monsieur Kerfyser, notre maire et ami, de son adjoint Monsieur Frère,  ni celui d’Anne-Marie. Les enfants étaient de la fête. Et les grands aussi  autour du convivial apéro. 
L’année prochaine sera je crois la 25ème fête, alors, « a l’an que ven »
Reportage Linda Bastide. Photos Bernard Knobel
ART’S MISSAN, 15 août 2016
OK, Ok, je suis en retard d’une semaine pour vous parler de cette fête du 15 Août à Armissan : fête traditionnelle qui chaque année réunit des artistes si différents et finalement si complémentaires : peintes, sculpteurs, écrivains, au fil des ans ils se connaissent et se portent une amitié et une particulière estime.
Cette année, Anne-Marie Albert, organisatrice de ces ART’S Missan originaux a eu l’idée d’inviter  les visiteurs a une « nocturne »  et  à cette heure fraiche,  où l’on aime flâner au retour de la plage ou d’une bonne sieste méridionale, où il y a encore une petite fin de soleil, et la promesse d’une fin de jour serein et propice aux flâneries dans les stands…Quelques photos pour vous montrer la douce ambiance, et imaginez-vous un accompagnement musical  tout du long, avec quelques solos  d’une « Edith Piaf », une  Léa  extraordinaire, la traditionnelle remise des Prix,  et le pot de l’amitié.
Organisée par la MJC Art & Culture, dont le Président  Guy Gaxieu , à la fois peintre, professeur et fédérateur,  n’est pas avare du temps qu’il consacre toute l’année, à ceux, de tous âges, que passionne la peinture, ni de celui que demande, le jour J de l’été,  la bonne marche de l’évènement.
La salle Ernest Ferroul  garde cette exposition jusqu’au 15 août, ce qui implique qu’il faut y courir sas tarder ! A signaler, au milieu de la salle, la petite table où se prélassent quelques romans et recueils de Linda Bastide, accompagnés cette année par le DVD du film « La Dérive » où cette cachotière a le premier rôle, et qui a été sélectionné cette année par le Service Culturel de l’Ambassade de NYC , pour participer, sur écran géant, au Green Festival de Brooklyn.
Les 4 murs en sont couverts des œuvres exécutées dans l’année.  Et les visiteurs tournent, émerveillés. Ne pouvant tous les citer, vous trouverez le catalogue sur place. Nous nous sommes amusés à photographier les 2 plus jeunes, gentiment appelés « ceux du Cours Elémentaire 1ère année » : Danielle Ferrand  nous offre,  pourquoi ne rêveraient-elles pas ?  2 dorades à l’âme emplie de rêves, et c’est là le signe d’une précoce personnalité dont on parlera un jour. Idem pour le garçon, David Butaud, qui lui nous entraine avec une bonne humeur juvénile dans ses sous-bois bleus, ses chemins allant on ne sait où, ses spirales de temps tournoyant dans des allées impassibles. Invitée aussi par Guy, l’incontournable amie de Luc sur Orbieu, Linda Bastide et ses 3 toiles mixtes qui ont pris au piège le sable, les cailloux, quelques épaves de bord de mer, et nous entraînent  au creux d’  « aubes indisciplinées ». Fin d’après-midi traditionnelle : discours de Guy Gaxieu qui annonce le 25ème salon pour la prochaine année, de M le Maire, dont l’érudition pleine de bonne humeur ne change pas,  et cela entouré des « artistes réunis ». Puis l’apéritif d’été sous les platanes, dans la joie et l’amitié!
Reportage et photos Bernard Knobel
En ce 12 Août 2016, on fête à Luc sur Orbieu la 24ème Exposition des Talents du Terroir
Tout autour de la salle les peintres, sur les tables les artistes et artisans, sans oublier le « coin des écrivains » : Alain Birot et son premier roman, un policier très bien ficelé, haletant à souhait et qui vous  emmène dans un train d’enfer   : « Vents de démence sur Narbonne », Fernand Campariol , lui, présente son dernier roman historique. Il a ses « fans »  pour ce « Ombres et lumières d’Orient sur la Narbonnaise » :   Narbonne au VIIIème siècle  après J.C :  Les Sarrasins de l'émirat omeyyade de Cordoue se sont emparés de la ville en 719. Félimer, un jeune Wisigoth veut venger l'honneur de son père sauvagement agressé  et celui de sa sœur qui a été en levée. Il devient l'espion de Charles Martel puis de son fils Pépin le Bref qui chassera  définitivement les Sarrasins de Narbonne assiégée durant quarante ans . Une traque sans merci  de l'amant sarrasin de sa sœur le mènera aux confins pyrénéens.  Ce roman, traversé par les violences guerrières , prône également la tolérance et l'échange des cultures, dans un style flamboyant , dénué d'idéologie. Linda Bastide, offre toujours ses romans, dont « Le Journal Immobile d’Eléonore » réédité pour la 16ème année, où ceux de chez nous se reconnaissent, sélectionné pour le Prix Méditerranée, il ne démérite pas, et tous ses autres  recueils sont aussi réédités en bi et trilingues ( anglais-espagnol- etc …), de quoi amuser les touristes.. .  et leur apprendre à lire en français !  Quant à Danielle Chamaillard, portée par ses rêves son héroïne de « Mami Wata » part vers le grand Sud, pour un voyage d’émigrant à contre-courant…Courez à La Palme, les écrivains s’envolent vers d’autres cieux et libraires,  mais les  peintures  vous attendent  « de mur ferme » !
Reportage et photos Bernard Knobel et Linda Bastide.
L’équipe de l’Association « Arts et vins de La Palme »  a surpris tous ceux qui ont fait le chemin jusqu’à ce petit village typique de notre Sud. Gérard Romero et son équipe ont fait fort et tant mieux !
Cette année, ils ont invité  des « graffeurs »  de talent à changer le visage des murs séculaires : les voici, colorés, exubérants, joyeux, chantants – je parle des murs – et toute cette journée sera celle de l’allégresse. Jacques et Monsieur le Maire Jean Paul Fauran, présentent les artistes, ils sont nombreux à avoir commencé leurs « toiles sur mur » de très bon matin, et heureux d’avoir terminé au coucher du soleil. Bravo ! ! ! Pendant ce temps, à l’ombre de la grande salle d’exposition, une journée  classique de fête annuelle : sur scène, un chanteur espagnol qui a mis une super ambiance et non stop !
Une petite Camille de ce début du 21ème s’approche, fascinée par  le chemin de carton  troué qui traverse le cœur de la machine de bois peint, et qui, de mystérieuse façon ressort.   - mais il faut tourner la manivelle qui l’entraine jusque de l’autre côté  - en déroulant de drôles de petites notes pointues qui font une drôle de musique. Alors, près d’Alain le magicien, elle tourne, tourne et rit de bonheur !
Alain et son orgue de Barbarie son invités pour le prochain printemps à monter jusqu’à Montmartre et la vie sera belle, tant qu’il y aura un tourneur de la Butte pour chanter sous le soleil !
Reportage et photos  Linda Bastide
Un personnage de roman ? Un personnage « historique » ? Un précieux descendant d’une espèce aujourd’hui disparue… ou presque ?  Virtuose d’un instrument  qui fait aujourd’hui partie d’un patrimoine si lointain, qu’à la question « c’est quoi, cette caisse qui chante ? », la réponse d’Alain « C’est un orgue de Barbarie ! », reste une énigme … ou presque ! Ils  sont tout cela, cette magique « caisse qui chante » et ce  vrai Montmartrois de Montmartre, immigré à PLN depuis quelques décennies, mais qui n’a pas oublié les rengaines d’un début de 20ème siècle et du coin des rues et des escaliers de la Butte : sous le soleil des  samedis  d’août, en plein milieu du marché, énigmatique et souriant, il chante, il chante, il chante, touristes et Nouvellois s’émerveillent, et chaloupant  de fruits en fanfreluches, semblent danser sur la place de l’église.
Alain « Le tourneur de la Butte »
La monstrueuse chaleur, L’inévitable Tour de France ? La fraicheur des vagues ? … Cette année l’Art dans la Rue , cette fête d’été que Jacques Viville, Mary-Louise Boardman et leur équipe se donnent un mal fou à organiser, cette fête qui remplissait toutes les coins d’Olonzac, « cagna » ou pas, elle s’est réduite au »minimum vital » ! Mais rassurons-nous, l’année  prochaine elle se fera à la fraiche, en « nocturne » nous  dit Jacques, environ de 17h à plus tard, avec un grand dîner qui réunira visiteurs et exposants… On retrouvera nos peintres pleins de talent et plein  les rues, nos artisans-artistes qui ont «  des doigts de fée » et qui inventent des objets du quotidien poétiques et surprenants : chapeaux faits dans  les fesses de vieux jeans, sacs improbables qui s’enroulent puis se déroulent au gré des hasards qu’ils doivent contenir, tous ceux qui inventent  pour les grands, pour les enfants, pour les rêveurs, pour les pragmatiques, pour les amoureux de l’insolite ou du beau ! Cette année, nous sommes entrés à Olonzac par une petite rue  ombragée,  au nom si joli : La rue des Petits Cartables(1) ! Et nous avons débouché dans le désert brûlant des grandes rues !  Un grand nombre d’exposants avaient disparu ! Et avec eux, les visiteurs, du moins ceux du matin !  (2-3). Mais plus loin derrière le grand portail  de  la salle Georges Brassens, une caverne d’Ali Baba. Là, un peu d’activité et quelques badauds.  Nous sommes heureux d’y retrouver les fidèles : Guy Gaxieu, peintre venu de Luc sur Orbieu, Linda Bastide écrivain, venue d’une ville  bizarre Narbonne-Montmartre, et le photographe Frédéric Chevriau, avec  ses animaux venus d’une autre planète, « les tchacalops du Wyoming », son charesseux, son sourichat … (4-5-6), Marc  Deotte un autre grand preneur d’images, et François Saignes, s’est réfugié dans l’allée et il peint à genoux sur le ciment frais la fontaine d’Olonzac….
Alors, « A l’an que ven ! » Reportage et photos  Bernard Knobel
Deux parties dans ce show où chacune d’ elles y est allée de son solo, ou s’est glissée dans les chansons collectives de notre  adolescence : Foule sentimentale d’Alain Souchon,  Viens faire un tour sous la pluie, Gigi l'amoroso de Dalida,  L'amour c'est comme une cigarette de Sylvie Vartan,  Le mambo du gigolo (Pastiche hilarant  du mambo du décalco, de  Richard Gotainer, Les p'tits papiers de  Régine, en passant par « Balade en Novembre » d’Anna Van der Love… Ah ! Les «  quarantenaires » et les « grand-mères « d’aujourd’hui, ne sont plus ce qu’elles étaient : elles sont dans une forme olympique, elles « s’éclatent » sans état d’âme, parce que la vie, c’est cela, donner du bonheur en se faisant du bien ! Elles chantent, elles dansent, et le font à la perfection. Ce qui ne doit pas les empêcher de faire d’excellentes confitures…Puis ce fut Montmartre et ses complaintes, devant un décor que je vais envoyer à mon ami Jean-Luc, Directeur du Moulin Rouge, qui sera heureux qu’au bord d’un étang de rêve, on pense à notre Butte et à son Moulin le plus beau du monde ! Cette aventure  va se poursuivre dès l'automne prochain. Merci Olivier,Corinne, les filles d’être ce que vous êtes des z’amours au talent fou ! RV début septembre au forum des associations de Narbonne pour rencontrer ces adhérents engagés et heureux de chanter ensemble. Reportage et photos Linda Bastide
Ce 19 juin 2016 la salle de spectacle de l’Atelier Cabaret à La Nautique, a fait le plein pour un spectacle joyeux et dynamique, émaillé de chansons, de rires et d'émotions. L'association « A Tout Bout de Chant »  nous a présenté  un «  B'rêves de filles »  musical d’une exceptionnelle qualité.
Narbonne :« La salle de spectacle de l’Atelier Cabaret à La Nautique, a fait le plein  »
Décidément, Olivier Munge est un « grand bonhomme » entièrement dévoué à tout ce qui est beau, et nous fait supporter ce monde en berne artistique et intellectuelle ! Digne des « petits-grands » cabarets de la Capitale (je pense plus spécialement au Théâtre du Petit Bonheur à Montmartre, à l’Essaïon  dans le 4ème, à l’Akteon  dans le 11ème) qui donnent à voir et à entendre, ceux qui, s’ils ne sont pas des vedettes, ont un talent fabuleux !  Sept chanteuses sur le plateau qui ont bossé avec un courage, un cœur « grand comme ça » : Caroline - Chantal - Christine - Chrystelle - Claude - Martine – Monique ont travaillé chaque lundi soir, pour inventer et construire ce spectacle sous la houlette de Corinne, chanteuse, comédienne et formatrice :
Décidément on ne peut qu’être heureux  à Narbonne d’avoir un lieu où les artistes les plus divers nous font rire avec un talent exceptionnel, un à propos toujours émouvant, poétique, intelligent et etc…
Les mots me manquent pour dire cet exceptionnel endroit. Je ne vous fait pas languir plus longtemps : c’est Le Café de la Poste, orchestré de main de maître par Guy et son épouse. Vous pouvez être certain que les narbonnais et les touristes ne s’y trompent pas ! Pour moi, qui suis une montmartroise-narbonnaise, c’est une raison super majeure de flâner dans cette ville pendabnt quelques mois d’été et d’hiver ! Le Café de la Poste peut rivaliser avec « Le Théâtre du Petit bonheur » caché dans les escaliers de la rue Drevet, sur la Butte, ou avec le Théâtre Essaïon dans le 4ème, ou le  Théâtre Akteon  près de La Bastille !  Les soirées font « petite salle de bistrot comble » c’est bien la preuve ! En ce Vendredi 3 juin 2016, on y recevait Eric Collaro et Marco Paolo « Les deux légendes »  qui, pendant 1 heure ½ ont revu et corrigé les plus grands chefs d’œuvre du cinéma, les sketchs légendaires, l’actualité revisitée, les pubs parodiées, tout était une salve ininterrompue de   bonheur total, quelques minutes pour chacun, et quand le « rideau est tombé » ces deux, qui méritent bien leur nom, on les aurait bien écoutés toute la nuit ! Reportage et photos Linda Bastide
Narbonne « Eric Collaro & Marco Polo on fait salle comble au Café de la Poste  »
Si le Théâtre du Petit Bonheur n’existait pas, nous serions tous perdus, nous de Montmartre qui aimons ces « Chanteurs, chanteuses et comédiens  peu connus », mais qui ont un talent fou.  Dans la petite salle aux murs de pierre, avec son petit coin bar, ses glaces qui lui donnent l’apparence d’un grand, il ne contient que 50 personnes ! Au milieu de l’escalier de la rue Drevet qui monte jusqu’au ciel, de la Butte, il faut savoir qu’il est là ! Et tous les mois je me fais le plaisir d’y retrouver Isabeau et son invité surprise. En ce 19 janvier, toujours accompagné de son pianiste « fou », au talent énorme, elle nous régale de chansons de Pierre Perret ( Prenez ma nouvelle adresse), de Pierre Barouh ( La Chanson pour Teddy),  Les lézards de Zanzibar ISB GOLDENRAT ( de Cad et d’elle), de Brassens ( J’ ai rendez vous avec vous), Boby Lapointe ou Marguerite Monod, etc….Puis en seconde partie, Perrine Marquès nous amène au bord d’un fou rire plein de larmes avec « Les grosses rêveuses » de Paul Fournel. Reportage Linda Bastide ; Photos Larissa Noury
« Paris-Montmartre : Isabeau au Théâtre du Petit Bonheur.  »
Une précision importante : l’espace est  ouvert aux artistes de tous les coins de « France et de Navarre », comme disaient nos anciens !
Parmi les artistes exposés pour cette première, citons :
Les  sculpteurs : Jean-Remaury, avec ses personnages en résine et fil de fer, et Simone Yvars dit Mona avec ses petites sculptures en terre, Christine Cavezzan  avec ses peintures figuratives, tous trois venus de Toulouse.
Les peintres : venus de la région toulousaine, André Jérôme Gallego et ses acryliques sur toile, Nellybonnefis et ses petits cadres et peintures minimalistes,
Jacqueline Falcou Kessas  avec ses acryliques sur papier torchon et sur toile.
Venue de La Rochelle,  Danielle Martin-Troulay, avec ses effets gestuels sur altuglas.
Sans oublier ceux de l’Aude : Sylvie Domin et ses créations de nus, acrylique sur toile, et Michèle Fumat avec ses encres sur papier torchon encadré.
L’après-midi de ce 18 novembre s’est terminé, comme l’exige la coutume, par un pot fort sympa !
Reportage Linda Bastide. Photos Richard Kessas.
Vernissage dans la nouvelle Galerie d’Art du 21, rue de l’Ancienne Porte de Béziers : Ils font partie du "Mouvement d'artistes indépendants », ceux qui  ont adhéré à un salon "Art-Show", 3e du nom (les 2 premiers étant sur Toulouse)".
Avec le concours de Lise Alvarez, qui a organisé la réception, ils étaient nombreux les artistes exposés là, et heureux de pouvoir  exprimer  leur art ou leurs créations en toute liberté.
Monsieur Penet, Adjoint au Maire chargé de la Culture, a honoré ce vernissage de sa présence.
Gageons que cet espace culturel, sera un pôle important et attirera de nombreux visiteurs : convivial, chaleureux, il apportera émotions et rêves sous la houlette de Hujac, qui vous y accueillera tous les après-midi, sauf le lundi,sur rendez vous (06 37 14 90 04) et les dimanches toute la journée.
« Narbonne : un nouvel Espace Culturel »
Maryse, cela va sans dire, mais cela va toujours mieux en le disant, est une artiste à la sensibilité à fleur d’âme !
Laissons la nous raconter :« petite fille gâtée dans une fratrie où 3 frères » l’entourent de tendresse, elle était sans doute peu préparée aux embûches, graves problèmes de santé et chagrins qui l’ont un jour rattrapée…
Je la cite : «  Même diminuée physiquement, la vie vaut la peine d’être vécue ! » Sa rencontre avec Franc, lui aussi  artiste-musicien, à la sensibilité à fleur d’âme, provoque chez  Maryse ce tout petit déclic qui deviendra grand, et qui, enfin, lui apporte la paix. Sans n’avoir jamais pris aucun cours de peinture, prise d’un irrésistible élan, elle se lance à cœur perdu dans son imaginaire où se mêlent sous ses doigts, couleurs, poésie, rythme musical… Exactement comme le disait je ne sais plus quel poète : il faut, pour que naisse  l’émotion, que l’on retrouve dans chacun des arts, tous les autres mêlés.
Et ce soir, Maryse invite justement quelques artistes à faire une fête de l’amitié, une fête sous le signe de la peinture et de la musique. Son amieMarie- Claire, décoratrice a structuré le décor et son éclairage, et prend des photos,  la première a servi d’affiche à une exposition de Maryse dans la salle de la Mairie d’Armissan. Franc et son accordéon font chavirer la soirée, José  Frère 1er adjoint au Maire,  chante avec lui, Agnès, poète-restauratrice nous régale d‘ « œuvres d’art » belles et succulentes, Bogdan le potier danse, Linda poète nous émeut avec un poème-hommage à Dalida,  et nous raconte le DVD du  film « La Dérive » présenté à New York, Chantal  Ménager et son époux conseiller municipal ne sont pas les derniers à chanter et danser, tout le monde valse ou chaloupe, c’est selon. Comme dirait Michou : «  Quelle belle soirée : » Reportage Bernard Knobel. Photos Anne-Marie Garcia
Armissan : Maryse Delpech, peintre, invite ses amis à une musicale « Soirée Privée »
...C’est une courageuse Présidente de l’Association Culturelle « Arts’Missan », Anne-Marie Albert, bientôt  rejointe par toute son équipe,  Jean Perez,  Anaïs Navarro,  Corinne Cumin, Philippe  Rillard, qui, présente dans la Salle des Mariages et des Expositions de la Mairie, un artiste atypique : le photographe José Nussy Saint Saens :  arrière petit fils du musicien Camille Saint Saens, virtuose du piano et de l’orgue, auteur entr’autres de « Samson et Dalila », « Le carnaval des animaux, de concertos et musiques de chambre, fils d’un brillant magistrat Conseiller à la Cour d’appel de Bordeaux ayant  assumé l’affaire de l’empoisonneuse de Loudun, Marie Besnard,  José sera un adolescent très tôt  attiré par la photo.
Autodidacte, son parcours est étonnant : école de photo de Vevey, puis études de géologie, de recherches géophysique, de Sciences expérimentales, etc… et pour finir Club photo du Lycée Ampère de Lyon.
Rien d’étonnant à ce que son travail de photographe soit original et unique : c’est à partir de clichés couleur, que, dans une « chambre blanche » il les travaille en noir et blanc, obtenant ainsi des nuances de noir, blanc, gris et une lumière  incomparables.
Ils étaient subjugués les amis et artistes venus voir son exposition de photos de mer ou de ciels, de bois flotté, de pas dans le sable. Il y avait là le grand Claude Fagedet, immense photographe narbonnais, mémoire vivante de la ville et de toute notre région, Bogdan Saczkowzki, potier d’art qui anime à l’occasion des ateliers pour les enfants du village, Maryse Delpech, peintre autodidacte de grand talent…
L’exposition dure jusqu’en janvier 2016 : profitez d’un moment libre dans vos journées de congé de fêtes pour aller prendre là une belle provision de rêves.
Reportage et photos Linda Bastide
23-24 octobre 2015 : Monsieur Shpynov Igor
Directeur du Centre Franco-Russe pour la Science et la Culture, de Paris est un magicien :
Samedi,  Linda a eu l’honneur de faire une mini-conférence sur son dernier recueil, en alternance avec Larissa(4)  : l’une en français, et l’autre en russe, elles ont eu un succès d’émotion particulier. Avec projection des tableaux de Larissa
Et, elle a eu le plaisir de dialoguer pendant un long moment avec Mme Carrère d’Encausse, (5) l’invitée d’honneur de  cette année, dédicaçait son nouveau livre, paru chez Fayard. Celle-ci  a pris un long moment pou, main dans la main, bavarder avec Linda qui a vu là, l’occasion de lui manifester sa joie de la voix qui lui fut donnée il y a 2 ans, par l’Académie Française et Madame Veil en personne. Mme d’Encausse, s’est enquise des projets de Linda qui lui a parlé de son nouveau livre historique en préparation « Les coulisses du silence ». Mme D’Encausse l’a fortement encouragée et a demandé de lire la maquette.
Les 2 jours de fête se sont terminés par un pot convivial dans la galerie : amitié oblige !
Reportage Marie Saulière. Photos Larissa Noury, Bernard Knobel.
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Invitation de Linda Bastide et Larissa Noury au Centre de Russie pour la Science et la Culture !
Il réussit l’exploit de réunir écrivains, poètes, peintres, philosophes, historiens, éditeurs de tous horizons intellectuels, dans les prestigieux salons du Centre - qui dans la salle,(1a) qui dans la belle galerie des glaces du XIX ème siècle, devant les baies vitrées ensoleillées (1) - dans une ambiance, je le cite : « où l’amour du beau, du sensible,  de l’intelligence du cœur, sont les maîtres mots  des 2 jours de fête de l’amitié franco-russe » Inna Merkoulova,responsable du département Science, Éducation, Traduction, et Commissaire du Salon du livre, réussit, elle, une organisation au cordeau, avec, cerise sur le gâteau, une succession de conférences  de très haut niveau dans le grand amphithéâtre.
Linda Bastide et Larissa Noury, son amie biélorusse, sont  invitées, la première pour présenter « 13 pas dans le sable bleu de Montmartre » traduit en russe  et illustré par la seconde, et Larissa, peintre-coloriste-architecte des couleurs, membre du CFC, de l’Association internationale de la Couleur, de la Fondation Taylor International Women Artist’s Council, etc…
Vendredi, les amis se sont succédé sur leur stand, don : Mr Eric Monjour, Secrétaire Général de Russkaya Literatura (2), qui a invité Linda au Salon de Janvier de la Mairie du 16ème, La Confesse Poliakoff, dont on aperçoit un bout de  l’extravagante capeline et le foulard bleu, , derrière Eric, Katia,(3)  biélorusse, « Reine d’Automne » de la WJ Organisation, où, sous le patronage de Mme de Fontenay, Josiane Wegrzynowiez et son Comité Miss Prestige,  organise de belles élections de Miss,  était là aussi, et Med, cameraman de Paris-Montmartre-TV, Jean Olivet, chanteur compositeur,et Valérie,  chanteuse, et Nicolas Tikhobrazoff , d’Artcorusse et...
Linda adresse à tous amis cette invitation, y compris ceux du Sud qui seraient de passage à Paris, elle vous donne rendez-vous au grand amphithéâtre du salon culturel Franco- Russe du 16ème arrondissement. Linda et Larissa seront sur scène pour présenter et lire des poèmes en Fraçais et en Russe  " 13 pas sur les pavés bleus de Montmartre
Ce mardi 1er décembre, à Art' Missan...
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Elle est annuelle, cette fête qui réunit chaque année au milieu du mois d’Août les artistes peintres de tous bords et talents de l’Association Art & Culture,  présidée par un Guy Gaxieu responsable enthousiaste, qui ne ménage pas ses efforts tout du long des années.
La version 2015 est la 23ème, et elle a réuni 22 peintres : le 23ème, n’a pas pu être présent, pour donner  raison au hasard qui, seul, avait prévu la concordance des  chiffres.
Et cette fin d’après-midi d’été a commencé par l’affluence dans la salle d’exposition de visiteurs venus du village, mais aussi de plus loin, et, les photos en sont le témoin, il y a là une qualité exceptionnelle de talents. Les toiles de :  Astruc S, Allamand J-P, Bastide Linda, Bourdiol Ch , Bonnavenc G, Caron M, Coste S, Deschamps R, Dubois F, Edom M, Fifi , Gaxieu G, Gaxieu N, Greget D, Many, Maziere A, Puig  M, Picornell Y, Roqui A, Sarradel G, Sarradel L, Vinas M-A....
Le 16 août en fin d’après-midi, ils arrivent, les curieux, les habitués, les touristes, pour se promener tranquillement au milieu des stands réunis là, sur la place de l’Eglise à Armissan ! Une petite foule arrive, piano-piano, qui va envahir la place dans quelques instants (1). Quelle merveilleuse idée : Anne-Marie Albert – que l’on voit à l’extrême droite sur la dernière photo au moment de la traditionnelle distribution des Prix  – est la responsable des fêtes d’Arts’Missan tout du long de l’année, et pour cette manifestation du milieu de l’été, elle  a donné rendez-vous aux artistes et aux visiteurs en fin d’après-midi.
On a tous été heureux… et on n’a pas eu chaud !...
Organisée par Jacques Viville, son Président et son épouse Mary-Lou Boardman sa secrétaire, l’exposition réunit peintres, céramistes et photographes de la région (où de plus loin, mais y résidant).
Ce fut une belle fête, et si nous ne pouvons citer tous les artistes présent, nous avons été particulièrement touchés par la diversité de leurs talents, émotion, poésie, beauté, étaient au rendez-vous. Catherine Dendal  et Isabelle Vincent et leurs céramiques aux lignes pures.
Mary-Lou, aquarelliste professionnelle,  diplômée des Beaux-arts de Londres, nous offre, outre ses aquarelles de très beaux dessins à l’Encre de Chine. Claire Alario ses « Pierres » et ses acryliques modernes nous font rêver d’horizons de vagues.
Linda Bastide, peintre-poète, n’en revient pas du fabuleux hasard qui, après une promenade au bord de la mer, lui a inspiré, à partir de ce début de poème : « sur des chemins qui vont de n’importe où à nulle part, ou de nulle part à n’importe où » des toiles où se mêlent sable, galets et branches-épaves.  Frédéric Chevriau, le photographe aux 40.000 clichés était là, avec l’élégance et l’originalité de ses clichés. Pour terminer ce bel après-midi d’Août, visiteurs et artistes se sont régalés avec la dégustation des vins de Mr Cornu, dont les vignobles sont à cheval entre Olonzac et Homps, agrémentée de tous les petits amuse-gueule apportés par les artistes eux-mêmes. Jacques et Marie-Lou organisent 6 expos par an ! Si au mois de Mai le dernier le thème de l’Exposition  était « le soleil », celui de  la fête de septembre sera, vendanges obligent, « Vignes et vins ». Peintres, à vos pinceaux, photographes, à vos appareils !
Reportage Linda Bastide. Photos Jacques Viville
Olonzac : L’Association  « La Cour des Arts » présente l’Exposition « Sables et galets ».
Mais courez-y vite, l’Expo ne dure que jusqu’à Mardi 11août.
Et rien d’étonnant alors à la rencontrer dans des galeries d’art européennes et américaines. Installée dans la région depuis peu, cette artiste, élève d’Alain CHAVATTE sort des Beaux-arts», mais a fait des Etudes des Science , d’Histoire de création et d’Histoire et l’Archéologie. Le Narbonnais lui offre un terrain d’étude à sa mesure. Il est dit d’elle : « Ses pinceaux et son talent serviront une riche collaboration avec les conservateurs, restaurateurs et archéologues émérites »… Un vernissage chaleureux, dans ce décor de rêve créé par les peintures de Marie-Noëlle, et terminé par le pot de l’amitié, merci Armissan de nous offrir de telles fêtes.
Reportage Linda Bastide et Anne-Marie Albert. Photos Jacques Hujac
En ce Mardi 28 Juillet 2015, Monsieur Kerfyser le Maire  (1) est là pour accueillir les invités, ainsi qu’Anne-Marie Albert, Présidente de l’Association ARTS MISSAN qui nous présente la jeune et talentueuse peintre Marie-Noëlle Roy. (2) L’Association a  invité tous ses amis de la Culture et des Arts Plastiques pour une nouvelle exposition. Et un public particulièrement nombreux se presse dans la salle de la Mairie réservée pour chacune des fêtes : certains sont venus de pas loin ou de très loin : Patrick François Conseiller Général du Canton de Narbonne Ouest, Linda Bastide de Montmartre… (3) Le travail de peintre de la jeune Maris-Noëlle est remarquable : émotion et beauté, mouvement, danse, énergie, musique, poésie,  l’on retrouve tout cela dans ses tableaux. Ouverte au monde, ses images transmettent la vie ! (4-5)
Exposition dans la Salle de la Mairie d’Armissan
Visible jusqu'à fin Août
Nous avons erré pendant 1 heure ! À « La Tramontane », espace réservé à cette fête estivale :  porte close ! Pas de panneaux à l’angle des rues ! Ignorance à l’Office du Tourisme : bien malin celui qui sait, mais pas eux ! 18 heures : Miracle ! Nous remarquons qu’un nouveau bâtiment a surgi du sable : un grand bateau gris couché sur le flanc, une passerelle menant à « un rouf » rouge, et quelques passagers grimpant à bord ! C’est là ! Au fond, à gauche…. à l’arrière du camping ! Là, qu’à lieu l’inauguration du Salon qui va durer une semaine : Jacky Sune, Dany Arnaud et la jeune conseillère municipale Mme Pavan y vont de leurs chaleureux discours. Vernissage réussi : 18h30, la salle est au bord de l’explosion !  on se presse entre les grilles supportant les tableaux, on se serre, on étouffe un peu, mais tout le monde est de bonne humeur. Nous revenons le lendemain pour bavarder tranquillement avec Dany. Pas de photos de tableaux : manque de recul et mauvaise lumière ! Dany a réuni ici 58 artistes dont 43 peintres, 15 artisans sculpteurs sur bois, métal ou terre – comme celle qui nous offres ses « petites chéries noires et rouges » 1 mosaïste et 1 peintre-écrivain. Sur la photo 3, et de gauche à droite : André Fontès, Liliane Vozza, Valentine Lastra, Dany, Denis Rouanet, Claudine Nègre, et Linda Bastide. Souhaitons  pour l’année prochaine voir doubler la surface de l’exposition :  la deuxième partie de la salle –  qui peut s’agrandir grâce à une cloison amovible  a été, avons-nous appris, bizarrement fermée toute la semaine en prévision de l’élection dimanche prochain des « 10 plus belles filles de la Plage, et des 10 plus beaux mecs » ! Bref, allez voir celle magnifique exposition qui se clôturera, dimanche 20,  par une tombola aux lots offerts par les artistes et encourager Dany et les artistes à vous donner, contre « vents et marées » expression adéquate en bord de mer, un moment de plaisir et de bonheur. A l’an que ven ! Reportage Marie Saulière. Photos Bernard Knobel
17 heures, nous sommes en avance. Cette année, un labyrinthe à ne plus savoir que faire nous attend à Narbonne-Plage, pour trouver entre mer, petites falaises, rues et avenues ce lieu magique où se déroule la réunion des artistes peintres et sculpteurs réunis par Dany Arnaud, Responsable de l’Expo des artistes de Narbonne-Plage Amitié.
Narbonne : 13-19-20 juin 2015- Exposition Les Arts à la Plage
C’est dans le cadre hyper-convivial du Café de la Poste - et déjà, super poétique, avant même que les soirées commencent  - que Guy et Sandrine  reçoivent régulièrement des artistes confirmés, de tous horizons, « de tous poils », chanteurs, comédiens, humoristes etc…
Une salle intimiste mais aussi conviviale, puisque, un peu avant les spectacles, il y est servi un amical et délicieux dîner-maison  à un prix défiant tous les attrape-narbonnais ou touristes  déambulant dans la ville.
Salle pleine depuis les 3 soirées du spectacle au titre inénarrable : La Dérive des Incontinents.
Guy et Sandrine présentent Jean-Jacques Cripia : un qui n’a pas « la grosse tête » mais ne vous y trompez pas, « une pointure » : créateur du Duo des Non, groupe d' ethnologues spécialisés dans l' étude des aborigènes de Bourcagneux... Auteur de plusieurs milliers de sketches radio diffusés, d' une bonne douzaine de pièces de théâtre et qui revient seul en scène parce que « il y a moins de cotisations sociales, notamment RETRAITE... »
Virtuose des mots ::  « Vieillir c'est dur, heureusement ça passe… » il fait s’envoler son spectacle qui nous parle de nous… de vous, d'eux, et d' elles… de nous qui avançons dans la vie sans reproche avec les autres comme témoins de notre PROPRE chute … de nous qui gardons toujours face aux pires perspectives un ineffaçable sourire, une ironie douce amère, une confiance naïve dans ce rafiot où nous sommes embarqués pour ce périple qu'on n' avait pas demandé… de nous qui demeurons amusés des chausse-trapes du sort , qui acceptons avec grandeur cette destinée qui nous fait croire avec Céline que "le monde est une gigantesque entreprise de se foutre du monde", jamais tués par le ridicule… de nous, en quête de panache, des Cyrano terrassés par une bûche, nous rêvant Don Quichotte quand nos abdos nous révèlent Sancho , nous persuadant Don Juan quand le miroir nous renvoie Sganarelle…  de nous tous, apprentis motivés au rude métier de vieux et de vieilles que nous mettons tant de temps à maîtriser… 
Emaillée de visuels  déjantés, une araignée dans le plafond,  une  scène d’amour entre tortues… de chansons que Jean-Jacques  a composées, sur des airs connus, mais aux paroles de son cru, et qu’il joue avec force, tendresse, poésie sur son orgue électronique,… de changements de costumes irrésistibles, du Maire au Curé… une  pièce qui n’est surtout pas déconseillée au moins de 55 ans … sauf « à ceux qui n' ont plus de points sur leurs permis de conduire des autodérisions »... un spectacle qui  redonne le moral …  «  en tout cas à ceux qui y survivent... »
Les murs du Café de la Poste ont retenti en ce soir du 6 juin - où Guy et Sandrine m’avaient invitée, et je les en remercie  -  de rires et d’applaudissements si forts, qu’on les a entendus jusqu’à Montmartre !
Reportage Linda Bastide. Photos Bernard Knobel
Narbonne : une araignée au plafond du " Café de la Poste " le 6 juin 2015 !
En ce 8 juin pluvieux, ils sont tous venus, amis, amis chanteurs  et amis poètes aux talents divers. Cette dernière rencontre Terpsichore,  avant les vacances estivales, a eu lieu dans la salle Henri de Monfreid de la mairie annexe de Narbonne-Plage. Marie-André Balbastre, créatrice et Présidente de cette Association de poésie ne ménage pas, et ce depuis des années, son temps, son enthousiasme, son énergie, pour organiser rencontres, concours, manifestations de tout genre, ici dans le Sud et jusqu’à Paris. Les lauréats du  concours 2015, aussi bien « enfants » que « grands »  nous ont ému et ravi. Pour les enfants, deux petites filles accompagnées par leur professeur Ferdinand Mauriac de Capestang ont été primées, dont  Eloïse Valade  avec sa fable du bœuf qui voulait devenir aussi petit qu’une grenouille, et Jade Bauchard avec l' Acrostiche sur Thibault  Grand'père.
Le groupe belge " Le Grand Bateau"  ses 2 musiciensYves et Thomas et sa chanteuse Aster ont ouvert, jalonné  et clôturé la fête. Je ne peux citer tous les poètes, et ils me pardonneront : sue le thème imposé du bateau, ils ont versifié sans retenue. Emotion, humour, tendresse, rêves de voyage, une arche de Noé en forme de ballon gonflable, que du bonheur. Martine Richard a lu un poème dédié à  Henri de Monfreid : ABDELHAÏ ( qui signifie: esclave vivant) vient du surnom dont l'avait baptisé les indigènes  somaliens . Il y avait aussi Jean-Louis Narbonne, Yves  Mur, primé, qui a lu son poème primé : le Graal. Linda Bastide descendue de son Montmartre haut perché, ignorante du thème de cette ultime soirée, a sorti de son « chapeau de poète » un Bateau Lavoir dont peintres, écrivains et rimailleurs (dont le narbonnais Reverdy) hantaient les coursives.
Et toujours dans son chapeau magique, la surprise de 2 chanteurs à l’immense talent, Alexandre Keyland et Olivier le guitariste, ont emmené la salle sur des rivages lointains où un tsunami de poissons courait à la rencontre d’un village affamé…Merci à Marie Andrée de nous avoir reçus en poète et chanteurs de la dernière minute, nous qui venions de loin. Quelques manifestations attendent encore dans le courant de l’été les poètes et leurs amis, mais ailleurs que dans cette salle ;  Vous ne manquerez sans doute pas d’en être informés. Reportage Marie Saulière. Photos Martine Richard
 
Narbonne Plage : Rencontre Poétique Terpsichore
Narbonne : La magie des spectacles du Nautic' Art à La Nautique.
S’il y a des moments  et des rencontres à ne pas rater, ce sont ceux et celles que nous y offrent Olivier Munge et son équipe. Avec son balcon de bois qui surplombe l’étang, le lieu est à lui tout seul promesse de beauté, de poésie, de bonheur. Il fait encore jour quand on y arrive l’été, et l’eau couleur de lumière semble aller jusqu’au bout de l’horizon, voir ce qui se passe là-bas où une petite montagne l’attend. Quand la nuit tombe, les vers luisants inventés par l’homme sous forme de banderoles de lumières, font à l’inverse avancer la petite montagne vers nous.
En ce soir de vendredi 5 juin, avec Olivier (1)  et la coach vocale de la chorale Corinne Beau (2) , il y aura sur scène ce soir, ceux de chez nous, Chantal, Jackie, Anne –Marie, Jacques, Olivier. Tous là pour accueillir l’invité d’honneur Jean-Pierre Tutin (3) au cœur de la Soirée « Lapin Agile » : une soirée-bonheur se prépare.
La Montmartrois-narbonnaise que je suis, n’allait pas rater ça ! Le Lapin Agile, doyen des cabarets de Paris, ancien « Cabaret des Assassins » au pied de notre célèbre vigne, propose depuis un siècle des soirées où chanteurs, poètes , peintres - Picasso, Maupassant, Apollinaire, Brassens, Nougaro -  font durer la nuit jusqu’u tout petit matin. Alors, ici, je me suis dit que ça n’allait pas être triste ! Et que ça serait super !
Jean Pierre Tutin, un ancien du Lapin est un jeune  homme sexagénaire y a sévi,  accompagné par Serge Gainsbourg !
Reprenant à La Nautique les vieilles chansons françaises à texte de la Butte et d’ailleurs, en alternance avec l’équipe d’ « A tout bout de chant », chanteuses, chanteurs, avec le soutien actif  et chantant du public, il nous a offert l’atmosphère et l’ambiance des veillées d’autrefois où chacun écoute l’autre et partage  avec lui le plaisir de chanter. Louvoyant de la « claire fontaine », à Nini peau de chien en passant par le temps des cerises, les feuilles mortes, les copains d’abord… et les chansons de Trenet, nous avons tous chanté, heureux comme jamais, dans une ambiance malicieuse et vraie, retrouvant l’âme de ce cabaret ici,  à Narbonne au pays du « fou chantant ».
Quand il a terminé la soirée en solo, avec des chansons d’Alibert, ou de Fanon, c'est-à-dire avec « le petit cabanon » ou « le foulard de soie » et avec un brio, une élégance toute de simplicité, d’amitié, de connivence, un humour tendre, nous avons tous chaviré de joie.
Olivier Munge, bravo de dénicher et d’offrir à ce pays de soleil des soirées comme celle-ci. Foi de narbonnaise-montmartroise, avec vos belles soirées interactives, vous êtes à votre façon un de ces « passeurs de mémoire » dont nous avons tant besoin.
J’espère vous retrouver à quai et la barre de votre beau navire « Le Nauticart » tout au long des étés et des hivers à venir. Reportage Linda Bastide
Au-delà de l’Impressionnisme et de La Mode : La double manifestation était placée sous le haut patronage de SE l’Ambassadeur de Belarus, Mr Latuchko, et en présence de Mr Panferov, Délégué permanent adjoint de la République du Belarus auprès de l'UNESCO.
L’artiste Larissa Noury et Linda Bastide notre écrivain-reporter, l’une pour photographier l’autre, en compagnie de trois autres photographes de renom - Zoya Raoul, Lidia Staub et Bernadette Plagemime -  ont partagé là un beau moment de complicité artistique.
En attendant le défilé, Linda a tout d’abord fait un tour le long des bastingages pour photographier les tableaux de son amie, sur fond de quais ou de ponts de Paris. (1)
Sur son magnifique grand bateau, on voit ici Frédéric Avierinos Président de « Les Vedettes de la Seine »,  et  Larissa Noury qu’il a invitée à présenter sur les deux pontons, ses merveilleux tableaux, et sa nouvelle merveilleuse collection ( robes de Jean-Marie Pujol et de Gilles Soglo, peintes par Larissa) (2)
Pour inaugurer l’exposition « Les Vedettes en couleurs » consacrée plus exactement aux 50 nuances de bleu, ont privilégié cette exposition des œuvres de Larissa : peintures tactiles sur des robes couture.  Et cette fête de la Couleur dans la mode, en forme d’une toute nouvelle collection inspiré par l’impressionnisme, a obtenu un vif succès auprès du public exigeant de Paris. ( 3 - 4)
Le clou de la nouvelle création pour cette exposition est la robe "50 nuances de bleu-Ciel de Paris" : toutes les teintes de bleu y sont :  bleu Acier, azur, majorelle, électrique, indigo, tiffany, outremer, ils ont créé là, sur les eux encore grises de cette Seine de printemps, un univers de l’infini, car la symbolique du bleu est le ciel, l’océan, et le symbole de la sagesse et de la créativité. ( 5)
Reportage Linda Bastide
« La Couture, c'est au temps des machines, un des derniers refuges de l'humain, du personnel, de l'inimitable. » Christian Dior…
Le 7 Avril 2015 : Une belle après-midi de printemps sur la Seine.
La méduse
Elle est sortie de la rivière  souterraine qui traverse Montmartre. Si on veut la photographier, il faut faire vite. hier elle n'était pas là. Et demain elle sera repartie, peinarde, vivre sa vie avec ses copains de la nuit dans le monde caché et magique où elle est là depuis le commencement des temps. Son chien fidèle est venu l'avertir qu'une belle ensorceleuse se promenait ce matin rue Tholozé. Elle n'a pas voulu rater ça ! Elle était ravie que je passe par-là et m'a demandé de faire son portrait ( en langage de cinéma on dit "plan rapproché") , celui de son chien-sans-nom, celui de la belle ensorceleuse, et un plan d'ensemble ( en langage de cinéma, on dit "plan américain") pour qu'on ne la traite pas de menteuse quand elle redescendra au royaume des ombres. Reportage Linda Bastide
Alors là, c'est fabuleux ! On fait quoi à Montmartre quand, vers minuit, une bagarre éclate sur le trottoir ?
Zut, on les connait, c'est des copains, ils sont pas méchants, ils ont juste un peu picolé d'accord, mais franchement on va pas appeler les "bleus"!
On les arrose un peu (avec de l'eau bien sûr ) et quand ils ont fini de s'ébrouer, on met, dans les mains des peintres de la joyeuse bande, pinceaux et peinture. Tu me crois pas ?  Sur les quatre vitrines ( ils ont fait fort, ils en ont pas raté une ) qui présentent tout à coup de longues striures lumineuses, c'est si  beau à voir, qu'on invente, on invente, on invente...; Quoi ? Regardez !
Oui, ça valait la peine de se bagarrer. Et si on buvait un coup pour fêter ces chefs-d’œuvre ? Même la rue, elle a voulu être sur les photos, tellement elle trouvait ça beau !
Mais quel est le nom du poète ?
Poète-cuisinier, poète-serveur, poète-sommelier ?
C'est sur la vitre d'un restaurant que j'ai lu ces 3 poèmes écrits à la peinture blanche. Et sur la porte les quelques mots :
Pain, amour et fantaisie, ça donne envie d'entrer !
Linda se promenait tranquillement dans la rue Tholozé  qui monte au Moulin de la Galette, et  voilà ce qu'elle a vu.
Heureusement nous dit-elle -" j'avais mon fidèle copain rouge, l’appareil photo, c'est pas tous les jours que je grimpe là-haut ! Alors, en 5 minutes d'ascension, je te ramène des photos insolites. Et voilà ce que j'ai vu...
Le printemps à Montmartre est fou, fou, fou
J'ai du mal à croire qu'on ne verra plus Cabu et Wolenski.
Wolinski, je l'ai rencontré en faisant mon reportage, au Salon d'Automne du 18 octobre 2014  qui étirait ses tentes blanches depuis le  Grand Palais du Rond Point des Champs Élysées jusqu'à la Concorde,. Chargé d'ouvrir le Salon, présenté par le Directeur, il y était l' invité d'honneur, et tout un grand mur exposait dès l'entrée ses dessins et caricatures. Je n'oublierai pas l’humour et l' intelligence, la pertinence des paroles  qu'il a prononcées.  Il a justement parlé ce jour là de son devoir d'information par l'humour, des menaces qui pesaient quelque fois sur lui et sur ses amis, à travers de leur travail de journalistes. Et évoqué aussi les noms de quelques humoristes de ses amis, et de ceux  de la génération montante, disant que certains avaient un talent fou.
Quant à Cabu, invité au Festival Charles Trenet 2012, Place Voltaire à  Narbonne, il m'a consacré un grand  moment de conversation amicale que je n'oublierai pas.  Nous avons parlé poésie, et il m'a dit que la poésie,, pour qui sait bien regarder et ressentir les émotions qu'il peut y avoir dans un dessin humoristique,dans la musique, dans la peinture, elle était partout. C'était au moment de mon livre d'Art consacré à Marcel-Charles Gaichet "Le côté d'où vient le soleil" qu'il a beaucoup aimé.
Reportage Linda Bastide. Photos André Avignon.
Mais entre temps ils ont donné tout leur talent à deux autres spectacles : « Le bœuf sur le toâ »,  « Le petit groom de chez Maxim’s » et ont fait un tour de France échevelé. Cette fois c’est le répertoire des Frères Jacques qui nous a été proposé, avec des textes de Bernard Dimey, Bob Lapointe ou autres, du temps où les chansons étaient drôles et incroyables, inénarrables, émouvantes, bref, où les spectacles, comme ceux de la troupe de Gérard se devaient d’être inoubliables. Citons quelques unes d’entre-elles, jouées et chantées (dans le cadre de ce souvenir des Frères Jacquie) comme jamais elles ne l’ont été : «  la violoncelliste », « C’est beau la photographie », « Fredo », « C’est ça le rugby » avec les joueurs de Montauban déchaînés  contre ceux de Perpignan,  ou encore « Y a d’l’atmosphère » «  Non, n’insistez pas Stanislas », « La confiture », « La queue du chat ». « Monsieur William » «  Les spermatozoïdes », « J’suis snob », et + de 20 autres…Quoiqu’il en soit, si vous voyez sur les murs de votre ville l’annonce de ce spectacle, courez de « toutes vos jambes » le voir, asseyez-vous et riez... Reportage Linda Bastide.
Chez Maxim’s ça swingue avec la compagnie théâtrale de Gérard Chambre et ses comédiens dont vous avez les noms sur l’affiche. Et croyez-moi, cette troupe là, elle mériterait de gigantesques panneaux tout du long de la rue Royale. Mais il n’y aurait pas assez de places dans le mini-théâtre où, au premier étage du plus célèbre restaurant du monde, Mistinguett avait jadis fait aménager pour régaler ses amis de ses danses et chansons. C’est le deuxième spectacle de la troupe Gérard Chambre que nous allons voir chez Maxim’s après le Charles Trenet du printemps.
Chez Maxim’s ça swingue tous les lundis à 20h 30
Amateurs de paillettes, clinquants, rap  et autres s’abstenir !
Et dans la même semaine, deux artistes au talent :
Vendredi, ce sont  Isabeau, notre vedette des chansons du répertoire, sa voix un peu canaille, son humour, sa tendresse, et ses propres compositions engagées, et son amie accordéoniste Brijou (« Isabeau nous fait l'offrande/D'une brigande/Voyou, filou/Cœur d'amadou/Cœur d'enfant /Au théâtre du bonheur ») avec quelques beaux textes sur la protection des animaux, Brigou, féministe et écologiste au ton plein de poésie et de drôlerie. Au piano, Alvaro « virtuose » des accompagnements sublimes ! (2)
Samedi, accompagné par Pascal Bret aux guitares sèche et électrique, le romantique Jean Olivet, auteur-compositeur-interprète, choriste au Chœur Symphonique de Paris, avec ses chansons fétiches : « Utrillo », « Je suis poète, et je ne veux rien »+, et, Noël oblige, ma chanson qu’il est le seul à chanter puisqu’il en a fait la mélodie : « S’il te plait Père Noël ».( 3-4) Quelques duos avec  Valérie Laborde , Choriste soprano au même chœur,  avec quelques reprises telles que « Jardin d'hiver » interprété par Henri Salvador), « Pauvre Rutebeuf » (Léo Ferré. Assemblage d'extraits de poèmes du XIIIe siècle), « Something stupid » interprété par Frank Sinatra et sa fille, Nancy Sinatra. (5)
Dans le décor de contes de fées du théâtre du Petit bonheur, ils ont fait, comme chaque semaine, et tout au long de l’année, des comédiens, peintres ou chanteurs, chaud au cœur des 20 spectateurs privilégiés qui arrivent assez tôt pour ne pas trouver porte close de ce théâtre lilliputien.
Reportage Linda Bastide
Non, ça ne s’invente pas : il s’appelle Le Petit Théâtre du Bonheur et ce serait super s’il y en avait un dans toutes les villes.
Ici, à Montmartre il faut déjà le dénicher ! Au milieu des escaliers de la rue Drevet, une porte qui n’a l’air de rien. Mais dedans, c’est autre chose : une  minuscule pièce aux murs de pierre apparente, on descend trois marches et on est dans un décor où les murs disent déjà le rêve,  l’amitié, l’authenticité, la joie de ce qui nous attend. C’est sans doute le plus petit théâtre du monde. Vingt places assises, mais sur les matches, en se serrant un peu, on tient encore une poignée de plus. On ferme la petite porte manière de ne pas être envahis par ceux qui montent ou descendent et passent un nez et un oreille curieuse vers lui. Et on part en voyage. Même les copains qui tiennent le bar et nous offrent un petite bulle, ne sont pas blasés. (1)
Le Petit Théâtre du Bonheur
- Madame Bastide, dites-nous ce qui se passe avec la lointaine Russie ? Cela ressemble à un inimaginable conte de fées !
- Vous avez raison, je n’arrive pas à y croire moi-même ! Alors voilà : je suis invitée à exposer et dédicacer mon dernier recueil au Salon du Livre Russe des 30 et 31 octobre, le seul et prestigieux Salon de Livres bilingues à Paris et en France. Il y a évidemment une grande communauté franco-russe en France, et les visiteurs vont venir de partout !
- Le titre du recueil ?
- « 13 pas sur les pavés bleus de Montmartre » traduit et illustré des fragments du tableau qu’elle a offert au livre, par Larissa Noury, peintre biélorusse internationale qui expose en ce moment en Californie.
Ce recueil a été aussi le seul à être présenté à la Fête des Vendanges de Montmartre 2014 dont le thème était « La poésie » !
- Et ensuite ?
- Cet évènement faisant suite aux 2 Prix Littéraires de Poésie Traduite qui me furent attribués à Smajda et à Smolensk, j’ai  reçu de Sveltana  Tragotskaya- Prigotskaya, Friendship du  Club des Poètes "Blue Bird", la  nouvelle d’une invitation en Juin pour Larissa et moi. Cette fois-ci, rassurée par la présence de mon amie, j’irai courageusement là-bas. Pour mémoire : ne parlant pas le russe, je n’y suis pas allée l’année dernière.
Je vous tiendrai au courant des aventures russes et sans doute des aventures espagnoles qui m’attendent avec la version bilingue franco-espagnol .
Merci de votre amitié, et bonjour dans le Sud. J’y serai bientôt. Propos recueillis par Aube-Rose
Linda Bastide emmène ses « 13 pas sur les Pavés Bleus de Montmartre » en Russie 
On connaît le talent international de Linda Bastide en qualité d'actrice, d' écrivain , de poète et...  maintenant de journaliste !
Perdus dans la foule immense nous avons eu le temps de regarder  les peintures, dessins, sculptures, livres d’artistes, photos, etc…
Nous étions invités au vernissage officiel du Salon, « L’Alternative » –  tout au fond du fond du tunnel blanc, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué – pour assister à la conférence du Maître des lieux, le Président Noël Coret, rencontrer le dessinateur-illustrateur célèbre (2), et regarder ensuite le défilé «  Les couleurs et la haute-couture, de mode de Jean-Marie Pujol, couturier et de Larissa Noury, notre montmartroise-biélorusse, peintre-coloriste à la renommée internationale.
Sous le haut patronage du Ministre de la Culture Fleur Pellerin,  de la maire de Paris, Anne Hidalgo et sous le parrainage de Georges Wolinski qui en a fait une drôle d'affiche, le Salon d’Automne 2014 « L’Alternative » s’est tenu sous de blanches toiles  et sur des kilomètres de long ! C’est du moins la sensation que nos jambes ont enregistrée à marcher sous le serpent immaculé qui allait du  grand palais jusqu’à la Concorde. (1)
Vernissage du Salon d’Automne 2014 « L’Alternative »
Larissa commente chacune des robes (3) pendant que sur l’écran géant défilent ses tableaux en harmonie avec elles. C’est une ovation qui termine le passage et la parade finale des merveilleuse créations de notre peintre internationale et de son ami. (4-5-6-7).
Et les compliments qu’elle reçoit de Son Excellence Pavel  Latushka, Ambassadeur de la République du Belarus en France, (8) qui honore toujours de sa présence ses évènements picturaux, ont beaucoup touché la belle, dont la robe « Moulin Rouge-Moulin Malin » est tout simplement somptueuse (9).
La statue de la Liberté en carton et collages, et Marylin (10) que nous saluons en flânant au retour dans un tunnel blanc plus calme, disent que ce salon est vraiment placé sous le signe du merveilleux, du rêve, du talent et de la beauté !
Reportage Linda Bastide. Photos André Avignon.
C’est le dernier jeudi de chaque mois qu’a lieu, Place Saint Sulpice à Paris au Café de la Mairie, une des plus importantes et amusantes soirées poétiques de la capitale : « Les Ricochets Poétiques » où ,en présence de Maggy de Coster, Présidente du Manoir des Poètes, chaque poète ricoche, par un poème connu ou par un personnel impromptu, sur le thème choisi par ses inventeurs-organisateurs Jean-François Blavin et  Nicole Durand. La « prestation » de Bernard est chaque fois demandée en fin de soirée et c’est chaque fois une mini tempête de rires et d’applaudissements qui ponctue son inconsciente et naturelle façon de dire les poèmes de son ami et voisin disparu, Bernard, Dimey de son nom, qui passait de nombreuses soirées au Gerpil, pile en face de la petite maison montmartroise de Bernard, Knobel de son nom. Marielle Frédérique Turpaud, Maire de la Commune Libre de Montmartre, journaliste (entre-autres ) pour La gazette de Montmartre, poète connue pour ses insolites et beaux « sonnets à coulisses » et virtuose dans le montage des photos, a flashé Bernard au moment où il dit «  Ivrogne », poème phare de Bernard Dimey, inoubliable auteur de fabuleux textes, et auteur de « Syracuse », chanté par Henri Salvador.
Reportage Linda Bastide. Photomontage Marielle Frédérique Turpaud.
« Notre Correspondant de Presse Bernard Knobel a raté une belle carrière de comédien ! »
Mais à coeur vaillant il n'est jamais trop tard ! ...
M. Jean-Charles Grelier, Maire de la Ferté Bernard-Conseiller Régional des Pays de la Loire,  ne tarit pas d’éloges sur son œuvre ( 6 )
M. Roger Dangueuger, Président du Syndicat d'initiative de Montmartre est là aussi, (7)
et Mme Natalia & Mr Oleg Yatsenkivsky, Directeur du Centre culturel de l'Ambassade d'Ukraine (8)
Et Midani, Président fondateur de la Revue Paris-Montmartre accompagné de son épouse l’artiste peintre Viola (9)
Cette rencontre d'artistes, échange riche en art et en culture s' est déroulée samedi 20 au dimanche 28 septembre, et dans le cadre des activités culturelles de ce Festival International, Grand Prix de Peinture de La Ferté Bernard, sera présenté le nouveau livre des poèmes de Linda Bastide, qui vient de paraitre  aux "Editions Flam". Ce magnifique livre "13 pas sur les pavés bleus de Montmartre" est  traduit en russe et illustré par Larissa Noury.et sa première présentation au public est programmé ce samedi 27 septembre 2014. (10)
Voici, pour ceux qui ne la connaissent pas encore, le lien pour aller à la rencontre de Larissa Nouryhttps://www.facebook.com/larissa.noury
Reportage Bernard Knobel. Photos: Hélène Velasquez&ADEL
Larissa a peint pour cette fête une somptueuse robe (couturier Jean-Marie Pujol) qu’elle a appelée "Moulin Rouge - Rouge Malin". Robe-fresque de 5m de long, inspirée par ses propres tableaux, cette robe est une conjugaison magique de toutes les nuances de rouge de l'ambre doré au mauve-bleu de nuit. Elle pose devant l’Église Notre Dame du Marais (1) Puis à l’intérieur de la halle auprès de Mme Acsamary Gusman, Ministre Conseillère et M. Chi Chi Reyes, conseiller de l'Ambassade de la République Dominicaine en France,( 2).  De nombreux amis des arts et de la culture  sont présentes sont là comme chaque année. Citons : M. Jean-Claude Sejourné, Président du l'Office du Tourisme, Directeur Artistique du Festival, Vicente Gonzalez Loscertales, Secrétaire du BIE, Mr Oleg Yatsenkivsky, Directeur du Centre culturel de l'Ambassade d'Ukraine et de très nombreuses personnalités venues de Paris et des villes différentes du Pays de la Loire…Pendant la soirée, Larissa se transforme ensuite avec humour en mannequin d’un soir et pose ici ou là et avec grâce (3-4), ou devant ses deux peintures tactiles de grand format " Le Printemps Eternel" et "Les Années-lumière" (5)
« Larissa Noury invitée à la  6 ème  édition du Festival International et Grand Prix de peinture de La Ferté-Bernard, berceau et terre de rencontres d'artistes »
Un vernissage somptueux pour accueillir dans les anciennes Halles Denis Bealet, au cours d’un échange riche en art et en culture, cette jeune femme peintre, internationalement connue, exposant dans les galeries les plus prestigieuses de la planète, Larissa est une Montmartroise-biélorusse et PARIS MONTMARTRE était l'invité d'honneur cette année pour l'édition 2014 de ce  Festival organisé par l'Office de Tourisme de La Ferté Bernard en partenariat avec le Bureau International des Expositions. Les artistes sont invités à travailler sur le thème "ARTIFICE".
« Mes couleurs sont opaques ou irisées, mâtes ou brillantes ; elles se chevauchent et s’interpellent pour évoquer le sentiment du flottement dans un espace à la fois universel et personnel. Au-delà du temps, mais pleines d’une énergie qui vient de la nature, mes couleurs architecturées créent pour vous une atmosphère de bien-être.  La couleur est une espérance du bonheur ». Ce défilé est un enchantement et je vous en offre quelques magnifiques joyaux choisis parmi ces robes imaginées par Jean-Marie et peintes par Larissa. Larissa et son équipe des 15 ravissantes mannequins venues de Russie et de Biélorussie, de Bulgarie et du Danemark, de Chine, de France et du Congo ont déjà fait découvrir la nouvelle facette  de la haute couture au public exigeant de Paris et Londres, Nice et Cannes, Florence, Minsk etc. Vanessa présente « soleil doré ».
Daria présente « Jardin de roses/ hommage à Dior »,  un véritable hommage au couturier Jacques Fath, lui qui fit connaitre Givenchy, Guy Laroche et Valentino, inspire encore et toujours les jeunes couturiers d’aujourd’hui. La robe est un cheminement de roses dans les jardins de maison de Dior, en Normandie impressionniste. Ava Gardner, Greta Garbo, et Rita Hayworth, princesse Ali Khan étaient ses clientes à l’époque de l’âge d’or de la haute couture ! Les couleurs crème, roses, champagnes créent des lignes de finesse pour accentuer la forme fine et élégante. La ravissante Dalhia est en robe « Champs de lavande »  
« Les couleurs de Haute Couture »
« La couleur or », nous dit Larissa  a de nombreuses significations. Elle est le symbole de la lumière solaire, élément de richesse et de domination. Elle est la couleur du faste et du luxe, pour preuve, Louis XIV, le «Roi Soleil», qui a fait de Versailles un somptueux château orné de dorures.
Et dans la culture bouddhiste, l’or est la couleur de l’absolue perfection, de l’équilibre, de l’illumination intérieure et même de l’immortalité. Si l’or est symbole de sagesse, il exprime également la connaissance, il est «la couleur» des Arts et des lettres ». Vessela est en robe « Orchidée royale », symbole de féminité et de fragilité.
Linda Bastide invitée à l’exceptionnelle à la soirée  « Les couleurs de Haute Couture »,
«  au-delà de l’impressionnisme et de la mode » dans les salons de l’ambassade de la République du Belarus en France. Cette soirée, dont l’artiste peintre internationale Larissa Noury et le couturier Jean-Marie Pujol  sont les créateurs, inaugure, avec cette exposition des œuvres en peinture tactiles de Larissa et un défilé de robes peintes par elle, les journées de la culture biélorusse en France.  Sur le seuil de la longue bibliothèque, les invités sont accueillis par Son Excellence  Pavel  Latushka. Entouré de Larissa, « maitresse de maison d’un soir » et d’Irina Kabasakal, directrice d’une belle revue de mode «Pingouin-Univers ». Pour fêter la Journée internationale de la Couleur et la Journée de l’équinoxe, « quand la lumière et l’ombre, le jour et la nuit sont à égalité », Larissa  (dont les œuvres sont exposées en permanence chez GRATS DECOR a San Francisco, Californie et a Sydney, en Australie chez LTD cinéma) et Jean-Marie nous ont proposé une nouvelle collection inspirée par l’impressionnisme. Larissa nous confie:
Quand les 16 mannequins dévalent le grand escalier de l’Ambassade pour la photo finale, SE Mr. Pavel Latushka et ses invités les attendent, émerveillés. La fête est finie, mais le rêve continue.
Pour clôturer la soirée en beauté, Larissa nous offre un instant privilégié : elle pose devant ses tableaux, trop belle dans sa robe Nymphéa.
Reportage Bernard  Knobel. Photos Cécile d’Estienne, Catherine Michel.
Sur la forme elle dessine : fine, fragile et forte comme la beauté et la grâce féminines. L’amour pur et mystérieux, la vertu et la simplicité. Un « Paon » porté par Olga, des « Iris », une « Galaxie d’amour », une « Indian mood », un « hommage à Hermès » de Shanghai à l’Egypte, Larissa nous fait voyager parées de rêves infinis, par-delà le cosmos et sa création toute entière vibre sur l’unique harmonie de l’amour.
Le défilé se termine par la magnifique robe « Nymphéas » qui au-delà de l’impressionnisme, est un hommage à Monet et aux jardins de Givenchy.
Angela, une modèle biélorusse de renommée internationale présente magnifiquement la robe « Princesse orientale ». Chaza présente tango de roses peinte pour le festival d’art en Argentine à Mar del Plata, sur un thème de flamenco. Mathilde, en rouge et noir, présente « Carmenita ». « Le nuage des Papillons » est présenté par Olga Karavaeva. Ici, la légèreté de la silhouette est inspirée d’une robe de Marilyn Monroe, marquée par une touche de branches couleur vert-pomme irisées et par un papillon qui déploie ses ailes sur le bustier. Romantique, touchant et sexy le grand papillon se transforme à un petit nuage des petits papillons qui s’envolent sur la traine.  « Fleur de Lys », peinte pour une expo au Carrousel du Louvre, « Mékong river » etc… pour toutes ces créations Larissa réalise des robes-poèmes-tableaux. Elle s’inspire de son propre travail de peintre, symbole d’infini, rappel de la création du monde, où les couleurs dorées et ambrées, argentines, mauves et irisées font souvent penser à l’été indien. Elles s’entrelacent et s’estompent sur les branches des calligraphies qu’elle réalise en citant quelques fois  les meilleurs poèmes d’amour des poètes russes et français. Larissa fait de la robe une œuvre fascinante, envoutante, ensorcelante, et merveilleusement fantasmagorique, un symbole de perfectionnement, de sagesse et de pureté spirituelle.
La robe est un cheminement de roses dans les jardins de maison de Dior, en Normandie impressionniste. Ava Gardner, Greta Garbo, et Rita Hayworth, princesse Ali Khan étaient ses clientes à l’époque de l’âge d’or de la haute couture ! Les couleurs crème, roses, champagnes créent des lignes de finesse pour accentuer la forme fine et élégante. La ravissante Dalhia est en robe « Champs de lavande »  
Larissa et son équipe des 15 ravissantes mannequins venues de Russie et de Biélorussie, de Bulgarie et du Danemark, de Chine, de France et du Congo ont déjà fait découvrir la nouvelle facette  de la haute couture au public exigeant de Paris et Londres, Nice et Cannes, Florence, Minsk etc. Vanessa présente « soleil doré ».
« La couleur or », nous dit Larissa  a de nombreuses significations. Elle est le symbole de la lumière solaire, élément de richesse et de domination. Elle est la couleur du faste et du luxe, pour preuve, Louis XIV, le «Roi Soleil», qui a fait de Versailles un somptueux château orné de dorures.
Et dans la culture bouddhiste, l’or est la couleur de l’absolue perfection, de l’équilibre, de l’illumination intérieure et même de l’immortalité. Si l’or est symbole de sagesse, il exprime également la connaissance, il est «la couleur» des Arts et des lettres ». Vessela est en robe « Orchidée royale », symbole de féminité et de fragilité.
Daria présente « Jardin de roses/ hommage à Dior »,  un véritable hommage au couturier Jacques Fath, lui qui fit connaitre Givenchy, Guy Laroche et Valentino, inspire encore et toujours les jeunes couturiers d’aujourd’hui. La robe est un cheminement de roses dans les jardins de maison de Dior, en Normandie impressionniste.
Ils étaient nombreux les amis fidèles qui viennent aux rendez-vous de Larissa rencontrer la beauté, l’élégance, la poésie, dans cette petite galerie du 20 Rue Tholozé à Montmartre. En cette fin de journée de  décembre, Larissa a invité Cécil d’Estienne, sculpteur et  Jean-Marie Pujol, le grand couturier, pour offrir à tous une exposition à plusieurs mains dont le thème ne pouvait mieux réunir, dans un même chemin et par le charme de cette rencontre, l’alchimie de l’échange qui  ont convaincu tous les « fans » et les spectateurs participant à cette  fête exceptionnelle. Fête de la richesse d’une confrontation qui nous construit. (1)
Une magnifique soirée haute en couleur en présence de SA Ambassadeur de Biélorussie Mr Pavel Latuchko : visiblement ému et enchanté du regard que porte sur le monde son amie Larissa. Il a laissé parler son cœur avec une émouvante simplicité. Si je résume son hommage à sa compatriote, Biélorusse-montmartroise, il a évoqué : La couleur dans ses tableaux, composante essentielle de notre environnement, son imaginaire qui crée l’image du passé, construit le présent et calligraphie notre futur avenir. Il a affirmé que l’exposition de Larissa Noury « Minéral - Sidéral » illustre magnifiquement les forces de ce phénomène d’harmonie des couleurs et de leur langage symbolique et sensible, nous invitant à un voyage imaginaire dans l’univers où dominent le mystère et l’éclat de la couleur, ses multiples nuances et ses harmonies complexes. (2)
Quel merveilleux hommage pour notre trop belle Larissa, enveloppée dans la robe qu’elle a peinte comme on peint un rêve. Elle me fait l’honneur et la joie d’être mon amie. Nous avons ensemble de magnifiques projets de collaboration artistique en prévision d’une invitation en Russie… Mais CHUT… ceci est encore un secret ! ! ! (3-4)
Au Vieux tonneau on joue au « Carron » subtil et millénaire jeu de billard indien, où 4 joueurs poussent leurs minuscules balles avec un doigt, main perpendiculaire à leurs barres respectives (6), où Carla, une petite fille joue au très ancien et diabolique « double jeu de dés » (7). Au Vieux Tonneau, il y a des livres sur les étagères de bibliothèques basses séparant les lieux divers, entrée, scène ou bar. (8)
Au vieux tonneau il y a une grande fresque de David Sarraud. (9). Bref l’endroit idéal pour Natis et ses amis.
Mais qui est Natis ?
Un jeune auteur compositeur interprète, qui a remporté à Paris le Trophée Charles Trenet 2008, aux Tremplins de la Chanson instaurés depuis des années par Christian Lebon - fils spirituel de Charles depuis sa petite enfance – qui , invité dans une émission de Patrick Sébastien a obtenu un considérable succès avec sa chanson « J’aime bien Paris » et depuis, de concert en concert, affirme un super talent. Il nous offre des textes intelligents, drôles, poétiques sur un rythme époustouflant. Mais surtout, il a un charisme étonnant, capable de soulever d’enthousiasme son public, qu’il soit dans un petit bar (10) comme ici, une grande salle, ou même la rue, car Natis, amoureux fou de chansons, qui se promène toujours sa guitare en bandoulière, n’hésite pas à se joindre aux chanteurs des rues : je suis témoin, il l’a fait à Montmartre et c’était super ! Reportage et Photos Linda Bastide.
Au Vieux Tonneau à Peyriac de Mer, dans un décor magique, poétique, surréaliste, dont il est difficile de savoir si c’est un bar-restaurant, une librairie ou un musée Natis invite ses fans à une super soirée. (2-3-4) Et David chef de cuisine, Christelle aux fourneaux les inviteront tous à un repas où les tapas sont succulentes et si énormes, qu’avec 2 on fait le repas ! (5)
Natis chante au Vieux Tonneau à Peyriac de Mer. (1)
Sur les quelques toiles qu’elle expose aujourd’hui, Larissa nous offre la couleur dans la ville, dans la vie et dans sa vie, jusque sur ses robes qu’elle peint de couleurs architecturées qui ouvrent des perspectives cosmiques et donnent, à son corps et à l’espace autour, de nouvelles dimensions. Architecte coloriste, elle nous offre le résultat de ses recherches en peinture et plaide pour la beauté avec une fougue toute simple mais qui nous entraine si loin…Elle a enseigné à l’Ecole Supérieure des Arts et Techniques de Paris, et à l’Université de Bordeaux III. Larissa est une très grande. (5)
Son amie Cécil d’Estienne, pratique plus volontiers le voyage intérieur. Ancienne élève des compagnons tailleurs de pierre aux Beaux Arts, elle travaille différentes formes plastiques et  artistiques. Les mathématiques et l’anatomie sont deux éléments de sa formation et structurent son travail de sculpteur.
Quant à Jean-Marie Pujol, ce couturier-esthète  « diffuseur de rêves », il  a travaillé pendant quarante ans pour les plus grands (Dior, Saint Laurent) puis, habillant princesses ou actrices, femmes à la recherche de rêves et d’élégance, et de distinction, il nous entraine, enchantés sur un chemin de mousseline et d’organza tracé par des ciseaux et ses aiguilles …
Cette exposition à trois nous a magnifiquement dit que l’art est une porte ouverte sur la vie, une façon d’exprimer la vie, de la commenter pour la faire sienne et de la partager.  Mobilisant tous les sens, développant l’acuité, donnant du sens à ce qui nous entoure et permettant le partage en toute lumière, ces trois artistes ont une même quête : « Peut-être un féminin absolu ».
Larissa est la peinture, Cécil est la sculpture, Cécil est  la matière, Larissa est la couleur, Larissa est les pigments,  Cécil est les patines, Cécil est  le ciseau, Larissa est le pinceau, et Jean-Marie est tout cela ensemble : des camaïeux aux contrastes, de la lumière à l’ombre, le travail sur les différences, sur leurs limites,  la maîtrise vers laquelle ils veulent tendre permet d’aller à la confrontation de la pleine matière pour exprimer toute la consistance et l’implication - une vérité d’être, de la pleine brillance jusqu’aux éclats de lumière - pour exprimer les palpitations, les vibrations, les émotions. 
Avoir des parcours différents et se rencontrer là, où l’envie est incontournable, impérative , totale ; mais avoir la même recherche de cohérence, la même exigence dans le travail abouti, la même quête d’une vérité et proposer des aspirations, des fascinations, des réflexions construites sur un regard attentif à ce qui nous entoure et arrêter l’instant, voilà leur itinéraire.
Proposer le rêve et ce qui parle à l’âme, c’est ce qu’ont fait ces trois artistes, le temps d’une soirée qui se prolongera ensuite  par une exposition  chez ERA MONTMARTRE 18 rue Durantin. Et  vous fera rêver…
Reportage Bernard  Knobel. Photos Linda Bastide et Larissa Noury.
Exposition « Minéral Sidéral »  ARTESIENNE, LE 13 DECEMBRE 2013
Statuette de Notre Dame de Beauté
C’est à Nîmes le 27 Juillet 1993 que Nicolas Le Riche, Danseur du Ballet de l’Opéra de Paris est nommé Étoile. Le Languedoc-Roussillon peut être fier de lui. Nicolas, notre invité de ce petit jour de printemps, est venu nous, raconter son extraordinaire chemin. Et Montmartre a fêté dans les jardins du Prieuré de Notre Dame de Montmartre le départ à la retraite de ce merveilleux danseur qui est entré à l’École de danse de l’Opéra à 10 ans, en 1982 et qui est engagé à 16 ans dans le corps de Ballet. (1). Il franchit chaque année une étape  de son long périple : « Sujet » puis « Premier danseur », puis « Étoile ». Aujourd’hui, « danse exige »  on n’oubliera pas que « bondissant avec force, Nicolas, sauts  vertigineux et fougue juvénile nous a toujours éblouis par la puissance de sa danse ». Émouvante  fête organisée avec respect, joie et amitié par notre irremplaçable Philippe-Marie Christophe, maître de cérémonie de toutes nos manifestations. (2) Tous les amis étaient là pour fêter ce grand danseur souvent choisi par Rudolf Noureev, Maurice Béjart, Iouri Rigorovitch, Georges Balanchine, John Neumeier et tant d’autres. Et qui du Bolchoï de Moscou, aux ballets de Finlande de Londres, du Japon, de Monte Carlo  ou de New York, a porté haut la beauté sans égale de notre patrimoine. Il est chevalier dans l’Ordre des Arts et Lettres, et dans l’Ordre National du mérite, mais sa modestie n’a d’égale que son immense talent et sa générosité à transmettre son savoir et son inégalable talent. ! Son épouse,  Étoile comme lui, les élèves de leur école de danse (3),  les représentants de la République de Montmartre (4), et nous les montmartrois amoureux de tout ce qui est beau et apporte du bonheur, nous étions tous là, cachés et heureux derrière  la basilique du Sacré Cœur, et Notre Dame de Montmartre (5), tout en haut du toit de sa petite et plus ancienne « petite sœur » veillait sur nous depuis un ciel plein de soleil. Le pot de l’amitié, à l’intérieur de la salle paroissiale a réunie tout le monde autour de la statuette de Notre Dame de Beauté - récemment sortie de son moule- (6) et qui, tous l’espèrent portera son regard sur un monde meilleur. Reportage Linda Bastide.
Montmartre a fêté Nicolas Le Riche, Danseur Etoile du Ballet de l’Opéra de Paris
Charles Trenet au Petit Théâtre de chez Maxim’s.
- J'ai eu un peu peur de m'être égarée en voyant débouler une cohorte de scouts en folie, bannière au vent, sifflet aux lèvres, sous les ordres d'une cheftaine Brindille un peu sotte, amoureuse d'un curé de campagne ollé ollé. «  Ah ! qu'il fait bon d'avoir vingt ans, / Et de marcher le cœur content, / vers le clocher de son village…. » à mourir de rire ! ! ! (6) Et j’ai redécouvert avec bonheur
- «  Dans les pharmacies » qui  désignait les bazars-épiceries-quincailleries d’outre-Atlantique (7)
- « Débit de lait, débit de l’eau »  à s’étrangler de joie ! (8)
- « Il pleut dans ma chambre » avec un « Bouboule les pieds dans un tonneau ! Super ! (9)
«  la Porte du garage »(10) «  Je chante »(11) « Le vieux piano d’la plage »(12) « Y'a d'la joie... » (13)
Que de tendresse dans spectacle !  .Les cinq en scène nous enchantent !
Tant que la salle entière se met ( aidée d’une feuille « pense-bête ») se met à chanter ! ! !
: « la Mer », « Douce France », « Vous qui passez sans me voir »,  «  Nationale 7 », « Ménilmontant », « Un jardin extraordinaire » …. Ou encore  « Boum ! Quand notre cœur fait Boum… »
Alors on tape dans nos mains. On chante. Manquerait plus qu'on danse !  Et dans les grandes salles de France et d’Europe où ils se produisent, il parait que c’est pareil : du délire de bonheur ! On repart en fredonnant retrouver la nuit de Paris, et tout près, la Place de la Concorde est illuminée de joie. (14). Reportage Linda Bastide
Le concepteur-metteur en scène-interprète c’est Gérard Chambre  et vous allez redécouvrir 27 chansons au cours d'un tour de chants peu ordinaire qui hésite, pour la bonne cause, entre cabaret et comédie musicale. C'est d'autant plus beau que la mise en scène respecte la joie, le délire ou  la mélancolie des textes. Le sens du détail est inouï :  costumes et  jusqu'aux socquettes, on y est ...Les chanteurs comédiens, Virginie Colette Simsom, ( soprano autant à l'aise dans un répertoire baroque qu'ici où elle réussit à redonner la façon de chanter si particulière des années 40), Estelle Boin, Pierre Babolat, Véronique Fourcaud  (soprano aussi, spécialiste de l'univers de Toulouse-Lautrec dont elle est l'arrière petite-cousine), Fabrice Coccitto, Mika Apamian et Gérard, ils sont fabuleusement talentueux. Ils arrivent en trombe (5) avec une énergie débordante et vont nous doper pour quelques jours ... longtemps, longtemps, longtemps, après qu'ils auront disparu ... leurs chansons courront encore dans nos têtes.
Nous les chanterons un peu distraits, en ignorant le nom de l'auteur ... Parfois nous changerons un mot, une phrase. Et quand nous serons à court d'idées nous ferons la la la la la la la la la la la la … C’est sûr !
Pierre Cardin propriétaire des lieux nous invite tous les lundis au premier étage au-dessus du restaurant du célèbre Maxim's, au 3 de la Rue Royale. (1)
L’ on y accède, en passant devant un bar merveilleusement sculpté (2), par un escalier situé dans l' époustouflante entrée. (3)
Elle voulait, pour elle toute seule set ses amis, la plus jolie petite scène de Paris,  Mistinguett la divine ! Et il semble qu’elle soit encore là, quelque part, pour accueillir aujourd’hui, et faire rêver ceux qui montent  les marches, des étoiles plein les yeux, et qui débouchent, éblouis dans le  décor  préservé, si beau qu’on est certain qu’elle va entrouvrir le rideau rouge et chanter.(3) La salle est petite. (4) et (4a) Premiers arrivés, premiers servis aux meilleures places, tout devant. Mais, même derrière on reste proche des comédiens et tout le monde chantera allègrement en chœur à la fin. Si vous aimez Trenet, vous adorerez comme jamais.
Une exceptionnelle fête de l’été à  La Palme :
Olonzac 2016- 10 juillet :
Sur ce mur d’Informations Internationales, Linda Bastide propulse sur le devant de la scène du monde des artistes qu’elle apprécie dans tous les domaines culturels. Littérature ( romans, poésie, anthologies), musique, peinture, sont évidemment sa préoccupation première. Ce sont souvent de nouveaux ou d’inconnus talents non médiatisés, et tant mieux ! Utiliser sa plume pour mettre en avant des francophones de tous pays ( ou amis d’artistes français), Linda le fait depuis des années, allant même jusqu’à créer une petite maison d’édition « Poètes à vos Plumes », pour les mettre en valeur.
Dans un monde où,  hélas beaucoup ne s’occupent que d’eux-mêmes, où la transmission des évènements artistiques est un combat, Linda travaille avec acharnement à faire émerger d’un quotidien peu culturel, tout ce qui est beauté, émotion, élévation du cœur et de l’âme.
Les Bavards du Net, mondialement consultés de considérable façon, mènent avec elle et quelques autres « amis » correspondants de presse et journalistes bénévoles, cette lutte pour faire sortir de l’ombre, aider si possible, ces écrivains, poètes, chanteurs et peintres méconnus qui, tout autant et quelquefois plus que les « vedettes » en place, embellissent notre  vie. Les couleurs du midi de la France , le bleu profond de la mer Méditerranée, ses plages douces de sable fin, le soleil, le vent, ses champs de vignes, de lavande, et à perte de vue ses garrigues parfumées de thym et romarin, ont des siècles durant inspiré les artistes, poètes, peintres, musiciens. Linda Bastide y est née, alors ses livres, s' inspirent de ses deux grands amours, les hauts de la butte Montmartre et ses racines Narbonnaises . Languedocienne dans l' âme, Montmartroise depuis son adolescence, elle a été nommée Ambassadeur de la République de Montmartre, où, à travers ses livres (dont nombreux sont traduits plusieurs langues et enseignés dans les écoles), elle fait rayonner notre beau Languedoc - Roussillon dans le monde entier
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Linda Bastide